
Le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi est auditionné, lundi 28 novembre 2022, par le juge d'instruction du bureau n°23 près du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme dans le cadre de l'affaire de déportation de Tunisiens vers les zones de conflits.
Pour rappel, Rached Ghannouchi fait l'objet de plusieurs accusations et enquêtes. Il avait été auditionné dans le cadre de cette affaire le 21 septembre 2022. Plusieurs personnes ont été auditionnées dans le cadre de la même enquête notamment, l'ancien chef du gouvernement et vice-président du mouvement Ennahdha, Ali Laârayedh. Le ministère public avait ordonné l'ouverture d'une enquête après l'audition de Rached Ghannouchi par la brigade antiterroriste de Bouchoucha.
L'affaire a été initiée suite à une requête déposée par l'ancienne députée, Fatma Mseddi. Elle avait affirmé, à l'occasion de plusieurs déclarations médiatiques, que le dossier contenait des preuves tangibles et prouvant la culpabilité de Rached Ghannouchi ainsi que plusieurs personnages publics et de hauts responsables sécuritaires. De son côté, le comité de défense de Rached Ghannouchi a affirmé que le dossier ne contenait que des déclarations médiatiques et des articles de presse.
L'affaire de déportation de Tunisiens vers les zones de conflits est liée à d'autres enquêtes en cours telle que celle concernant la société Instalingo. Celle-ci comporte des accusations d’attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d’inciter les gens à s’armer les uns contre les autres, à provoquer le désordre, le meurtre et le pillage sur le territoire tunisien, conformément aux articles 67, 68 et 72 du Code pénal. Après l'avoir auditionné, la justice tunisienne avait décidé d'émettre une interdiction de voyage à l'encontre de Rached Ghannouchi.
Une deuxième enquête est intimement liée à la question de déportation de Tunisiens et à l'implication de Rached Ghannouchi dans des affaires pouvant être qualifiées de terroristes et de menace à la sécurité nationale, celle de l'assassinat des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi et de l'existence d'un appareil secret servant les intérêts du mouvement Ennahdha.
Les dirigeants du mouvement Ennahdha avaient toujours nié l'existence d'une telle structure ou d'un lien entre son supposé chef, Mustapha Khedher et le président du parti, Rached Ghannouchi. Or, le comité de défense dans l'affaire des assassinats politiques a révélé, lors d'une conférence de presse du 25 novembre 2022, que Rached Ghannouchi avait eu plusieurs échanges téléphoniques avec Mustapha Khedher. Le chef de la garde rapprochée du président d'Ennahdha, Kamel Bedoui fait, aussi, partie des personnes accusées par le comité de défense d'entretenir un lien avec l'appareil secret. Ce dernier jouerait le rôle d'intermédiaire entre Rached Ghannouchi et Mustapha Khedher.
S.G
Perte de vie à des milliers de jeunes, des innocents sévissent comme chaires à canons.
Enfermez- ce monstre, rendez justice à ces milliers d'hommes et de familles.
Toutefois, il est certain, et vu ses déconvenues culturelles, il a ceþe certainement influencé lors d'une des étapes de sa vie, soit par des connaissances dans sa vie ou lors de son immigration vers un des pays arabes à lesquels ils vouent pour certains d'entre-eux une haine probablement d'avoir été rejeté pour son ignorance et à l'absence d'une formation qui lui permettrait d'intègre la société civile en général; d'ailleurs lorsqu'il sort des audiences aux tribunaux il démontre le signe de victoire come pour se consoler moralement et vouloir prouver qu'il peut réussir à s'en sortir des situations liées à la culture et au savoir qu'il n'a pas connus lors de sa jeunesse, lequel mot qu'il répéta souvent pour se soulager moralement des crimes de Bab Souika L'e'?reur de ses proches c'est d'avoir appréciés et admis ses déconvenues d'autant plus qu'elles rapportent de l'argent, le pouvoir et la possibilité d'être résidents en nababs de surcroit dans des pays étrangers huppés.
Donc pour eux c'est une réussite, que'le que doit la forme.
Quant aux adeptes de sa secte qui se sont enrichis, grâce à lui, veulent lui démontrer toute leur reconnaissance et puis vu qu'ils le considèrent come un génie même en sachant qu'il s'agit d'un dupeur et un maniganceur.
Petit con, tu oses m'insulter.
Si tu savais combien des mères de ton espèce sont une calamité pour le monde et ce pays, en particulier, tu fermerais ta gueule.
Inculte et satisfait de soi, tel est l'exemple du connard qui croit corriger autrui.
Va te torcher le cul !
Voilà qui est dit en langage à ta portée.
Quant à argumenter, il te faudrait quelques longueurs pour prétendre tenir sur la durée.
Il te faut le savoir.
Merde aux incivils, aux cons et abrutis.
Elle a de la gueule la religion.
Menteur, voleur, un vrai Tunisien en somme.
Naturellement, ne sont pas réductible à ce schéma, cette image, tous les tunisiens.
Il en est qui sont d'honnête hommes et femmes, et ceux-là sont insultés par les moins que rien, les incultes amis de ce personnage vil et hautain.
Ghannouchi mérite tous les reproches, il est chef des assassins, des pilleurs.....
Ce n'est pas l'insulter que de lui attribuer ses méfaits, ses actes, c'est lui rendre justice pour les hauts faits dont il a gratifie le pays depuis son retour de sa résidence chez les boutefeux
Rosbeefs.
Jusqu'à quand il va continuer de se moquer de tout le peuple tunisien ?
C'est les quelques alléchés et lechesbottes qui espèrent un os à os à ronger de sa part qui sont chargés de soudoyer les naïfs,
On savait depuis 2011 qui s'agissait d'un complot envers la Tunisie, pour que des profiteurs résidant à l'étranger utilisent des milices en Tunisie (généralement du sud fief de nahdha) , font tout leur possible par toutes sortes de manigances de coloniser la Tunisie.
Ils ne savent pour cela que d'improviser des mensonges inventés par cette maudite société américaine qui a été payée des millions en devises par ces sales nahdha,
- au nom de la Justice divine et de la Justice humaine,
- au nom du peuple tunisien qui a souffert des agissements criminels de Ghannouchi pendant dix ans,
Gardez Ghannouchi en prison Monsieur le Juge. Il ne doit plus ressortir du tribunal, tout sourire, brandissant le V de la victoire.