La candidate aux élections législatives anticipées du 17 décembre 2022, Fatma Mseddi a assuré que des agents de police, des magistrats et des personnalités publiques ont essayé de manipuler des preuves de l'affaire de l'appareil secret d'Ennahdha. Ils ont exploité leur pouvoir et leur autorité afin de protéger le mouvement islamiste.
Intervenant le 27 octobre 2022 durant l'émission "Sbah El Ward" animée par Hatem Ben Amara et diffusée sur les ondes de Jawhara Fm, Fatma Mseddi a indiqué que plusieurs députés ont été auditionnés par la justice. Elle a évoqué la disparition de documents et de procès-verbaux relatifs à l'enquête.
« La justice doit trancher... De hauts cadres vont se retrouver aux portes de l'enfer en raison de cette affaire... Plusieurs responsables sécuritaires, qui auraient dû être arrêtés, exercent toujours leurs fonctions... On m'a convoquée en tant que témoin... La justice a enfin commencé à enquêter pour de vrai », a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, Fatma Mseddi a indiqué qu'elle avait déposé sa candidature en tant qu'indépendante pour la circonscription de Sfax Sud. Elle a assuré qu'elle n'avait pas eu de mal à récolter les 400 parrainages exigés par la loi.
Pour rappel, l'affaire de l'appareil secret est liée aux assassinats des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi et à l'existence d'une sorte de police secrète et de réseau d’espionnage composés de civils, de policiers, ainsi que d'un ancien militaire. Plusieurs cartons contenant des documents relatifs à la situation sécuritaire en Tunisie, au fonctionnement du ministère de l’Intérieur et à des enregistrements, des rapports concernant des personnages publics et figures de la scène politique et un équipement de surveillance, avaient été découverts dans une chambre à disposition de Mustapha Khedher, ancien militaire jugé dans le cadre de l’affaire de Barraket Essahel. Il jouait un rôle important au sein de cet appareil secret. Il était le coordinateur et le chef d’un réseau d’indicateurs et d’informateurs, dont des policiers.
S.G
On a fait la peau à l'Irak, assassiné Saddam, et il fallut s'y reprendre à deux fois, et puis on procéda de même avec Khadafi avec sans doute un objectif plus périlleux mais portant, celui de reprendre l'Algérie et disposer de ses richesses... Et le travail se poursuit, le Maroc y servant de tête de pont.
Dans ces calculs, le dispositif mis en place produisit quelques résultats, mais l'ouvrage n'est pas encore parachevé.
Ennahdha étant un maillon, ce qui explique les soutiens dont il jouit au sein même de l'Empire.
Après avoir indûment pris le pouvoir, ce Parti qui n'en est pas un, cette officine a noyauté l'état, infiltré les institutions, placé ses agents, rétribué ou forcé la main aux ralliés pour tout avoir à sa main.
La Justice et l'Intérieur sont encore, au moins en partie, sous influence, et les agents dont il y dispose sont dans une situation paradoxale et intenable.
Ils ne peuvent sans risquer le pire dénoncer, car ce faisant, ils se dénonceraient.
Les juges captifs ont sorti le grand jeu de l'indépendance de la justice, déterré Montesquieu pour leur venir en aide, il y en eut qui leur offrirent sur un plateau des plaidoyers en nombre, convoquant à leur tour de grands juristes pour appuyer leur thèse, et tiennent encore à nous réciter le chapelet auquel ils n'ont jamais accordé de valeur sinon celle d'usage.
Il n'a pas manqué de gens de bonne foi qu'on n'aurait pas attendu dans cet exercice à venir renforcer leurs rangs et nous faire don de leur savoir assis sur leur expérience pour faire bonne mesure.
Mais, surtout, les gens pressés, ou ceux qui comptent tirer avantage, en numéraires, oatce que la maison-mère sait offrir récompense à qui lui offre des arguments ou sert de soutien de circonstance.
On comprend, dès lors, toutes les embûches, les tracasseries, les procédés dilatoires sur le chemin de la vérité.
En voilà des gens qui ont du sang sur les mains, des affaires pas très reluisantes sur le paletot et qui nous font très régulièrement la leçon.
Je comprends pourquoi le Président insiste auprès de la ministre de la justice pour faire avancer les affaires.
Il y aura bientôt dix ans que des politiciens furent assassinés, et toujours rien.
'?a suffit.
Ennahdha n'est pas un Parti national.
N'est pas un Parti.
C'est une section de l'internationale islamiste.
Agent de l'Empire.
Les faits l'attestent.
= TUNISIE = ? en tant que journal neutre , libre et ne portant aucune casquette , cela devrait être facile pour vous d'en informer vos lecteurs (( HATTA CHWOUYIA )) si pas possible , le tunisien le comprend très très bien ! tout en espérant vous lire a long terme si tout va bien .