
Maher Medhioub, ancien assesseur du président du Parlement, a publié, lundi 8 juillet 2024, une lettre adressée à Margaret Satterthwaite, rapporteuse spéciale des Nations Unies sur l'indépendance des juges et des avocats, ainsi qu’aux organisations de défense de l'indépendance de la justice et des avocats persécutés.
Dans cette lettre, Maher Medhioub appelle à « sauver » l’ancien ministre et dirigeant nahdhaoui Noureddine Bhiri, des « méandres de la détention et d’une mort lente ». Noureddine Bhiri a, rappelons-le, entamé une grève de la faim le 28 juin.
« Nous appelons la rapporteuse spéciale, ainsi que toutes les organisations tunisiennes, régionales et internationales de défense des droits de l'homme et des droits des juges et des avocats, à assumer leur responsabilité éthique envers leur collègue qui affronte la mort avec un courage rare pour défendre son droit à vivre dans la dignité, et à faire pression pour la libération Noureddine Bhiri de tous les prisonniers d'opinion en Tunisie sous le régime de Kaïs Saïed », dit la correspondance.
Noureddine Bhiri a entamé, le 28 juin 2024, une grève de la faim ouverte en guise de protestation à 'encontre de l'absence de réaction de la part du ministère public près le tribunal de première instance de Tunis au sujet de plaintes déposée pour torture et mauvais traitement.
Il avait déposé une plainte visant des agents de police ainsi que d'autres individus pour torture et mauvais traitement depuis plus d'un an.
Pour rappel, Noureddine Bhiri est accusé d'attentat visant à changer la structure de l'État, inciter les habitants à s'attaquer les uns les autres et à provoquer des troubles. Il a été arrêté, le 13 février 2023, après une descente policière effectuée à son domicile, où il a été blessé. Il avait alors été traduit devant le juge d’instruction du 33e bureau près le Tribunal de première instance de Tunis pour un statut Facebook.
M.B.Z
C'est un fait, que depuis l'arrestation des têtes de file des criminels imposteurs traitres à la NATION, tous les rémoras qui gravitaient autour de ces crapules, ont vu leurs émoluments fondre comme neige au soleil.
Du coup, bannis de la république, sans un sou en poche, ils ne savent plus sur quel pied danser.
Ils sont aux abois, livrés à eux-mêmes.
C'est le sort réservé aux vermines.
Famma Rabbi, ya klébe.
Chéye mè i doume.
Sauf si vous avez une autre religion.
Bhiri n'a besoin que d'un sandwich poulet-salade, alors basta, ce cinéma est indécent.
Quand on fait assassiner l'opposant, laisse mourir le lzldd prisonnier, et qu'on sacrifie de pauvres gamins sur l'autel de la guerre "sainte" entreprise par les ennemis de l'islam et des Arabes, on mériterait un traitement de faveur au sein de la géhenne.
Je n'éprouve aucun égard, ni pitié, et encore moins de la compassion pour un type sans âme.
Vous pourriez emplir vos pages de rappels, d'exhortations, vous faire l'écho de ses supporters et "frères", je reste de bois.
Pourtant, la mort d'un oiseau venu se cogner au pare-brise m'oblige à stopper le véhicule pour ramasser le malheureux volatile et me dépêcher de l'ensevelir l'émotion contenue.
Ce n'est ni vengeance, ni dureté gratuite, juste un réflexe équitable.
- fortune de Bhiri: 1500 milliard
- crimes majeurs de Bhiri: des milliers de jeunes tunisiens envoyés par Noureddine Bhiri, pour faire la guerre en Syrie, la plupart de ces jeunes gens sont morts, dans une guerre qui n'est pas la leur
- il y'a trois ans, Samir Dilou et la femme de Bhiri criaient haut et fort à la chaîne AlJazeera, que Bhiri, parce que « kidnappé par la police », était mourant. Le mec est encore en vie
- le 14 janvier 2022, Bhiri a fait un discours dans un rassemblement populaire d'Ennahdha à la cité Intilaka. Bhiri a demandé aux présents de faire tomber le régime Kais Said, en précisant que « faire tomber Kais Said est un devoir religieux, tout comme la prière, la Zakaket, il disait en arabe FARDH AYEN, c'est-à-dire devoir sacré.