
« Oublie l’académie, oublie l’association et crée une société communautaire, le président de la République a apporté une nouvelle pensée vous devez le comprendre ! » a déclaré le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, interpelé par un jeune diplômé en éducation physique.
Le ministre, qui effectue une visite à Kasserine, a demandé au jeune diplômé de « rassembler trois ou quatre de ses camarades » et de créer une société communautaire pour exploiter un terrain sportif et le réaménager, appelant le gouverneur de la région à leur apporter son aide.
Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, a annoncé en septembre dernier qu'une prime mensuelle de 800 dinars sera accordée aux sociétés communautaires. Riadh Chaoued a précisé que ces sociétés ne doivent pas être considérées comme des substituts au secteur privé ou public.
Selon le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, c’est le cadre législatif qui entrave le développement des sociétés communautaires, et une prime plafonnée à 800 dinars mensuels, pendant une seule année et non renouvelable, leur sera accordée.
M.B.Z
Profitez en les gars!! Le ministre à raison!!
Dans un pays normal q ca n'arriverait jamais une telle occasion !!
Ce que les Tunisiens vécurent avec le plus grand criminel de la politique de l'après putsch de Bourguiba contre le Bey de la Tunisie, toujours un "Sahli", le non-regretté et le plus damné, Ahmed Ben Salah, qui a appauvri ceux de droit, à qui il leur a enlevé leurs biens et leurs propriétés, pour les distribuer suivant l'appartenance et suivant la soumission. L'invasion des "Swahliya" sur les biens des Tunisois sous plusieurs intitulations, nous a appauvris. A nous les descendants de M'hamed Khouja Dey, qu'ils transforment en "Daouali", ils nous ont appauvris. Nous ayant volé nos biens, par soi-disant l'abolition des Habous et en ayant transformé nos terres en "propriétés de Ouèd Mèdjerda".
Ce que les Tunisiens ont vécu de pauvreté et de famine, jusqu'à avoir mangé les plaques de "Hendi" ou figues de Barbarie, au temps des coopératives de ce criminel non-regretté, Ahmed Ben Salah, jusqu'à sa destitution par Bourguiba, lorsque son système des coopératives a échoué au Sahel par des manifestants tués à Ouerdanine, ne peut être décrit sans larmes et sans fureur. Il fut démis de ses fonctions ministérielles en septembre 1969. Toutefois et fidèle à ses lâches habitudes, Bourguiba qui l'annonça clairement dans ses discours mimétiques, que Ben Salah n'enfilait du fil dans une aiguille, qu'avec son autorisation, se distança complètement des crimes de Ben Salah. Il l'a exclu du Parti socialiste destourien et déchu de son mandat de député, tout en l'ayant condamné le 25 mai 1970 par la Haute Cour, à dix ans de travaux forcés. La fin des coopératives et du vol des biens des autres pour les remettre aux arrivistes applaudisseurs, prit fin avec l'arrivée du premier ministre Hédi Nouira (Allah yèrhamou wè innaâmou).
Maintenant avec ce retour du cauchemar communiste, par d'autres désignations de "sociétés communautaires", sans prendre les propriétés et les biens d'autrui, mais par un soutien de l'Etat, nous n'avons rien à perdre pour attendre les résultats avec cette jeunesse fainéante, qui veut de l'argent sans travailler. Nous allons vivre des miracles des temps de la pierre, mais nous n'avons rien à perdre avec cette jeunesse de "Harraga"!!!
J'ai regardé une vidéo d'un jeune tunisien refoulé d'Allemagne, qui dit avoir travaillé dans le bâtiment pour 80,- euros la journée, alors qu'il ne gagnait en Tunisie, que 30,-dinars la journée. Tout en ayant converti les 80,- euros en 270,- dinars la journée, bien qu'il vivait en Allemagne. Une faute mortelle pour n'importe quel débile qui y pense et qui y croit. Car avec 80,- euros la journée pour 21 jours de travail en Allemagne, on compte parmi les SDF.
Allah yostir Tounes.
Bien que le role de l'état est d'aider les entreprises en démarrages par des crédits fiscaux, ce sont généralement les banques qui ont le role de prêter l'argent sur présentation d'un plan d'affaires viable. L'état sous KS semble se substituer aux banques et intervient directement par l'octroie de subvensions non remboursables. C'est un pari très risqué sachant que 90% des entrprises crées ont une durée de vie de moins de trois ans.
Qui paiera la facture de cette aventure voué a l'échec?
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Notez bien que la grande majorité du peuple est - elle aussi - contre ces personnes ... "d'affaires" ...
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A contrôler et à garder constament un oeil averti sur eux.
Avec adhésions, comptabilité, assurances etc... et prime d'état pendant un an.
Et après un an?
Ces machins communautaires sont décidément incompréhensibles.
=> recréer une autre société communautaire par un autre groupe, (ou mème par les mêmes personnes en changeant la gérence de tête), et ayant le même objectif.
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... ben alors ... ?

