On ne peut mettre fin à un sens collectif (ce type de mesure est une vérité dans les pays développé) car quelques intérêts particuliers n'ont pas réussit ou n'ont pas voulu anticiper cette mesure en diversifiant leur production.

Le Groupement professionnel du plastique relevant de la CONECT a organisé, ce mardi 17 octobre 2017, une conférence de presse pour exprimer sa position quant à l’interdiction des sacs en plastique.
La conférence s’est tenue en présence du président de la Conect, Tarek Chérif et d’Oussama Massoudi, le président du Groupement professionnel du plastique et des professionnels et industriels.
Tarek Cherif a exprimé, à cette occasion, sa profonde préoccupation face à la situation de l’industrie, notamment l’industrie de la plasturgie surtout que la nouvelle loi a prouvé son impact négatif sur cette activité et a causé l’arrêt de la production dans 15 entreprises et l’augmentation du taux de chômage dans ce secteur.
Le président de la Conect a, par la même occasion, appelé à restructurer ce secteur et à améliorer davantage ses aspects techniques et financiers notamment en ce qui concerne le volet environnemental.
M. Cherif a aussi appelé à mettre en place un mécanisme de financement participatif ainsi que des incitations bancaires pour permettre aux industriels de monter des projets conformes aux spécificités du secteur.
Oussama Massoudi a, pour sa part, souligné l’importance de faire participer toutes les parties prenantes dans la prise de ce genre de décisions. Il a, en outre, affirmé la nécessité de prendre en considération l’intérêt général sans l’exclusion d’une partie au détriment d’une autre.
M. Massoudi a tenu à rappeler la position du Groupement professionnel du plastique quant à cette décision tout en soulignant son impact positif sur l’environnement.
Toutefois, le Groupement a appelé à trouver des solutions et une stratégie pour sauver le secteur à travers l’adoption d’une démarche progressive dans l’interdiction des sacs en plastique. Pour préserver l’environnement, M. Massoudi a proposé la valorisation du plastique à travers le recyclage, la création des centres de collecte et la sensibilisation.
Le Groupement professionnel du plastique a ainsi appelé à lancer un dialogue avec le gouvernement pour concilier protection de l’environnement et spécificités du secteur.
M.B.Z (d’après communiqué)
Commentaires (12)
CommenterIntérêt Général
On ne peut mettre fin à un sens collectif (ce type de mesure est une vérité dans les pays développé) car quelques intérêts particuliers n'ont pas réussit ou n'ont pas voulu anticiper cette mesure en diversifiant leur production.
Diversifier le produit final!!
Stop à cette pollution
recyclage
Moussa el haj, el haj moussa.
Il faut bannir à jamais ces sacs
Un effort, svp!
Donnez moi une adresse et je vous en envoie, et au travail, au lieu de pleurnicher.
comme
halte aux importations de Turquie et de Chine
Passer un cape
En Europe les sacs plastique inférieur à 50 µm d'épaisseur sont interdit .. que ces entreprises Tunisiennes se recyclent et arrêtent de pleurnicher ... il faut savoir un moment investir pour orienter leur production ...
Ces entreprises augmenteront leur CA ... puisque les sacs seront vendus dans les grandes surfaces ...
Il ne faut dormir sur ses acquis mais se développer les zinzins ....
Au lieu de pleurnicher ... il faut plutôt envoyer un message vers le GVT pour aider le secteur à se restructurer ...
la production sera plus écologique et les entreprises de la plasturgie s'inscriront vers l'export ... IL FAUT VOIR GRAND Mes louloutes et non pleurnicher ....
Il est connu que les secteurs qui se restructure perdent des part de marchés avec perte d'emploi ... mais à moyen terme les entreprises deviennent compétitives au niveau internationale ... HC