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Les professeurs universitaires chercheurs en grève le 23 février
14/02/2017 | 15:38
1 min
Les professeurs universitaires chercheurs en grève le 23 février

 

Les professeurs universitaires chercheurs seront en grève, au niveau national, le jeudi 23 février 2017. C’est l’annonce qui a été faite aujourd’hui, 14 février sur les ondes de Shems FM, par le coordinateur général de l’union.

 

Les professeurs universitaires estiment que le dialogue est arrivé à une impasse avec les autorités de tutelle. Les professeurs dénoncent l’inexistence d’un plan de réforme clair de l’université tunisienne ainsi que leur situation matérielle, sociale et morale. Il s’insurgent également contre le non respect de l’échelle de rémunération. Il est également question d’ouvrir des postes de recrutement pour les doctorants et les docteurs.

 

M.A

14/02/2017 | 15:38
1 min
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Commentaires (3)

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Observateur
| 14-02-2017 17:26
Moi, au lieu de la grève des chercheurs, j'aimerais parler de la réussite d'un professeur-chercheur tunisien.

Un grand scientifique tunisien, le Docteur Abdelhamid Sayari vient de recevoir le Prix International Khawarizmi 2017, avec cinq autres sommités de diverses disciplines.

Voici le lien : http://213.176.123.54/kia/content/khwarizmi-international-award-30th-session-2017

J'ai regardé l'importance de sa carrière scientifique dans Google Scholar pour découvrir qu'il a un h-index de 70 (extrêmement élevé) et environ 18000 citations! Qui dit mieux!

Voici le lien : http://scholar.google.ca/citations?user=MFdZ8dEAAAAJ&hl=en

Bravo! Toutes mes félicitations!

hb
| 14-02-2017 16:39
1-IJABA représente une petite partie des universitaires, l'autre syndicat la FGESRS représente elle aussi une petite partie des universitaires, mais la majorité ne sont pas syndiqués, ils sont comme un volcan en sommeil, comme un poids lourds qui a du mal à démarrer mais qui attends un prétexte pour le faire: ce prétexte est malheureusement venu par ce ministre qui manque visiblement beaucoup de bon sens.
2-Le ministre a conclu un accord de principe avec la FGESRS sur un projet dit de rémunération des encadrement des projets de fins d'études: l'idée est bonne car derrière il y a un soucis d'unification entre les différents types d'établissement et de diplômes, mais concrètement cela constitue un recul pour beaucoup de cas dont celui des écoles d'ingénieurs ce qui va provoquer le refus de beaucoup d'enseignants d'encadrer et donc ça va porter un mauvais coup à l'école publique.
3-Ce n'est pas cela seulement le problème, en effet je pense que ce projet est une grande maladresse de la part du ministre car ça va unifier une grande partie des universitaires contre lui pour réclamer non seulement le retrait du projet mais aussi d'autres bénéfices matérielles qui vont donner le coup de grâce à l'état déjà souffrant après les revendications des instituteurs et des professeurs de l'enseignement secondaire...Si M. Le Ministre a assez d'intelligence et avec un peu d'humilité, il va devoir retirer aujourd'hui ce projet avant que que ce soit trop tard. Après cela il invitera les 2 syndicat à consulter ses bases pour trouver un substitut valable et acceptable.

1+1-1=
| 14-02-2017 15:59
Messieurs les chercheurs ; vous cherchez un plan de réforme clair ? En tunisie de l'après révolution ? De ce gouvernement ? Avec l'implication de ces politologues ? Mais vous rêvez . Ces gouvernants ne peuvent même pas réformer un circuit de distribution de tomates et patates .
Ce pays , si cher à nos coeur s'est malheureusement converti à une société avec pour loi "chacun pour soi et dieu pour tous" ./.