
Sur les ondes d’Express FM, Mohsen Hassen, ministre du Commerce, a déclaré aujourd’hui, 23 mars 2016, que le samedi prochain sera le jour ou débuterons des études en vue de créer une zone de libre échange à Ben Guerdène. Le ministre du Commerce a déclaré en outre, que ce projet verra le jour au plus tard en décembre 2017 et que de grands projets commerciaux ont été prévus dans cette zone du pays.
M. Hassen a également affirmé que des permis ont été octroyés pour la création de 13 espaces commerciaux de grande dimension dans différentes régions du pays, telles que Ben Arous, le Kef, Sousse et Sfax créant ainsi 13 mille nouveaux postes d’emploi. Des projets de création de marchés de gros qui serviront à l’export et à la distribution de produits agricoles sont également prévus à Sidi Bouzid, Kasserine et Menzel Bouzelfa, selon les dires de M. Hassen.
Le ministre du Commerce a conclu en commentant le recul de l’inflation à 3% en expliquant qu’il est dû à la chute des prix de certains produits et au recul de la demande vu la détérioration dans le secteur du tourisme.
S.A
Commentaires (12)
CommenterTYARA MTAA PROJEET !!!
Il refuse de dissoudre et de fermer l OCT..
Msaken
C'est pas nouveau !
K
Contrebande et terrorisme : les liens étroits
encore
Sans stratégie ni plan de développement; Etat sans âme.
Non seulement pour Ben Guerdene mais pour toutes les régions ce qu'il faut c'est des zones industrielles et agricoles; voir agroalimentaires. La majorité des tunisiens veulent du commerce, avec une caisse posée sur une haute estrade (ou un taxi) pourvu qu'ils soient surtout assis sans fournir d'effort, et puis de décider du prix même dépasser largement des marges bénéficiaires.
Le jour ou les jeunes veulent réellement travailler et non pas communiquer avec les SMS pour seulement connaitre les ventes quotidiennes tout en étant assis confortablement dans un café, soit dans une piscine ou en voyage d'agrément, à ce moment on en parlera de voie de développement de La Tunisie.
Les jeunes veulent et ne veulent que l'enrichissement facile, pot acheter une automobile luxueuse ou habiter Tunis, d'ailleurs, entre autre, la vente illicite de carburants libyen ou algérien qui a été une alternative, provisoire, pour gagner de l'argent (et parfois beaucoup d'argent) est devenue pour eux un métier à imposer à l'Etat, puisqu'il s'agit d'un job tant lucratif que facile sans effort ; il y en a qui s'allonge devant la télé, et lorsqu'ils entendent le claxon qu'ils sortent sans se précipiter pour remplir l'essence du client ; où est ce qu »on peut trouver cete planque. Et nahdha profite de ces dupes et cupides pour les inciter à la débandade qui lui servira d'aspirer à mettre, à son tour, mainbasse sur La Tunise et bien entendu la capitale Tunis, donc c'est tout un circuit de magouille mafieux ; même les armes sont apparues et dont on ne sait à ce jour la provenance, et comment ?!
De même pour d'autres produits qui s'acquièrent clandestinement prenant place aux échanges entre Etats ; des Etats parallèles qui sont instaurés à cet effet. Entrainant par conséquent la catastrophe de l'économie tunisienne, avec ces marchés parallèles installés un peu partout, et qui par exemple, inondent tant les trottoirs que les pavés des grandes villes, surtout Tunis qui devient une mascarade avec ces commerces illégaux.
En Tunisie l'enseignement est délaissé donc au détriment de l'enrichissement facile, c'est pour cela qu'on se bat pour que ce système persévère ; et que la fragilisation décisionnelle de l'Etat face à ce fléau néfaste ne sert que le populisme des partis politiques arnaqueurs qui se succèdent depuis au moins l'année 1987, qui fut la date du début de la décadence soit socioéconomique ou sociodémographique de La Tunisie et qui a permis à nahdha de mettre par la suite La Tunisie dans le fiasco et le chaos les plus complets d'autant plus qu'ils ne pensent qu'à s'enrichir et profiter tant des biens de l'Etat que du peuple, sans parler de leurs incompétences, et comptent naïvement mener une double vie surtout avec leur double nationalités, et ce soit à Tunis (et non plus dans leurs villes originelles au sud) ou en Europe, surtout à Londres ou à Paris. De rappeler qu'ils ont tous des liens de parentés, qui rappellent certains derniers événements de terrorisme en Europe comme par hasard.
Hasbiya Allah
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?