
Le leader au sein d’Ennahdha, Ajmi Lourimi, a accordé une déclaration au journal « Al Charaâ Al Magharibi » dans son édition du 9 novembre 2015.
Ainsi, Ajmi Lourimi a déclaré que le mouvement Ennahdha est prêt à gouverner mais qu’il ne veut pas conduire le pays dans la période actuelle. Le leader a affirmé que le parti Ennahdha tient à son choix consensuel et qu’il ne souhaite pas être en première ligne.
Il a ajouté que le parti était disposé à élargir la coalition au pouvoir pour garantir la stabilité du gouvernement et la continuité du cheminement consensuel. Il a également déclaré qu’Ennahdha était prêt à travailler avec le Front populaire si ce parti voulait participer au pouvoir. Il a ajouté qu’il fallait dépasser les difficultés de Nidaa Tounes pour pousser le travail parlementaire qui doit traiter de plusieurs projets de lois.
M.A


Commentaires (19)
CommenterIncompétance
Diviser pour piéger .
il fait du hab azize ce avide
le cirque des elus ikhouanes continue
Bientôt En Tunisie Institut Universitaire d' Âniers !
Nida s en charge
Les conditions ne sont pas réunies.
Ayez la sagesse et le courage de dire qui fait défaut, l'émir ou le troupeau ? Nous vous serons très reconnaissants.
ISLAM : LA FIN D'UNE FRAUDE COLONIALE TRAGIQUE
Il y a dans l'histoire de l'homme des scenarios qui se répètent. Les fausses civilisations meurent parfois dans le sang, parfois en silence.
Même avec ses milliards de dollars et ses centaines de banques islamiques, l'Islam touche à sa fin en tant que culture, civilisation, et religion.
Les révolutions Arabes ont poussé même les plus pieux et les plus croyants à remettre en question cette religion tragique.
Pas vraiment la vie du Prophète qui est exemplaire en civisme jusqu'à sa mort, mais ce qui s'est passé quand cet homme humble et bon et qui souvent disait a ses disciples de ne pas l'aduler, est passé de vie à trépas.
Car si cette religion et son Prophète ont su unir et convertir les peuples les plus barbares à un semblant de civisme du vivant de Mahomet, l'Islam a ensuite pris une mauvaise tournure.
Les conquêtes Arabes au nom d'Allah se sont bien sur heurtées aux autres anciennes civilisations comme celle Grecque, Mésopotamienne, Assyrienne, et Babylonienne. D'où ce fameux conflit de pensée qui a opposé l'Islam au raisonnement Grecque de raison et de logique.
L'Islam par une violence inouï et des décapitations systématiques, s'est attaqué à tout savant qui oserait défier le dogme qui dit « Dieu est tout et ne peut être défié par un raisonnement de la pensée quel qu'il soit ».
Et si les ministres d'Enahdha prônent un cursus d'études secondaires sans études de la philosophie, c'est bien parce qu'ils tiennent à perpétuer ce conflit et cette sclérose des esprits qui ont maintenu les peuples arabes dans un état de pensée irrationnelle qui les a empêché de vivre une révolution industrielle, mais favorisé leur soumission aux puissances coloniales.
Car pour le musulman, l'Islam et sa pensée viennent avant toute notion de nationalisme et de souveraineté.
Il y a aussi dans l'Islam une notion de capitalisme féroce puisque selon ses disciples, le Prophète était un commerçant et même un homme d'affaires.
C'est ce principe sournois qui a fait que les tribus Al Saoud sont encore au pouvoir. La raison étant bien sûr que ces mêmes tribus ont signé des ententes économiques et militaires avec les puissances coloniales les plus riches en or.
Les musulmans sont capitalistes d'où leur cruauté. Ils parlent de l'au-delà mais n'hésitent pas à tuer afin de maintenir pouvoir et trains de vie de luxe sur terre.
Erdogan peut vivre des centaines de victoires électorales, ce que le sultan d'Ankara a oublié est qu'il a misé son programme politique sur une religion déjà classée par l'homme comme étant dangereuse pour les peuples.
La fin d'Erdogan a un seul nom : un coup d'état militaire qui ne saurait tarder. Car que vaut le mot « démocratie » dans un pays qui utilise des élections dans le but unique de consolider le sous-développement tenace d'un peuple qui n'entrera jamais dans l'Europe ?
Même si l'Islam bénéficie d'un programme de relations publiques qui allie financement de mosquées, études et bourses, et programmes de Jihad bien rémunérés, la fin de cette religion a sonné le jour ou des hommes de DAECH ont crucifié un Chrétien d'Irak inoffensif et sans défense.
Quant à l'aide dont bénéficie l'Islam et ses tortionnaires à Washington et sa machine de guerre, le principe est simple.
Les régimes démocratiques comme les Etats Unis changent de Président à une vitesse vertigineuse. Un homme nommé Donald Trump a procédé depuis des mois à un démantèlement de l'establishment politique Américain.
Marié en série à des femmes de l'Europe de l'Est, l'homme parle un langage qui plait même quand il dit que l'on doit laisser Poutine agir.
Et dans un pays ou les militaires ont publiquement refusé toute intervention militaire contre Bashar Al Assad sur les réseaux sociaux, l'entrée de cet homme à la Maison Blanche pourrait signifier un autre revers pour l'Islam et ses tortionnaires.
Un revers encore plus sévère que la victoire militaire des Russes et des Syriens Nationalistes contre les égorgeurs de Doha et de Ryadh.
L'Islam, ce grand Madoff de l'histoire, a autant de chance de perdurer dans le monde que le Sultan Erdogan.
Car comme je l'ai souvent écrit : les révolutions Arabes sont la fin de l'Islam et le renouveau du Nationalisme Arabe.
Pas d'autres commentaires Monsieur le Juge, Messieurs les jurés.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.