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Abdelaziz Kotti qualifie l'ANC de république de la citrouille (Vidéo)

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La journée consacrée à l’audition et à l’examen de la motion de retrait de confiance par les élus de l’Assemblée nationale constituante (ANC) de Ridha Sfar, ministre chargé de la Sécurité nationale, et Amel Karboul, ministre du Tourisme, ce soir du vendredi 9 mai 2014, a enregistré une énième dispute avant de finir en queue de poisson.
En effet, à la reprise de la plénière, M. Sfar et Mme Karboul ont pris la parole réitérant leurs propos tenus au début de la séance avant que Mustapha Ben Jaâfar ne redonne la parole à Iyad Dahmani, député d'Al Joumhouri, qui a créé la sensation en annonçant le retrait de la motion de censure par la majorité qui l’ont signée tout en indiquant qu’elle ne visait pas à attaquer personnellement les ministres, mais plutôt à définir les lignes rouges à ne pas franchir. Du coup, ce fut la confusion et une extrême tension dans l’hémicycle où plusieurs élus se sont indignés de cette procédure. Un véritable clash a éclaté entre Mongi Rahoui, d'un côté, Iyad Dahmani et Issam Chebbi, de l'autre, et ces deux derniers ont tous deux été traités de « vendus ». C’est une sorte de « campagne électorale avant l'heure », criaient les mêmes élus.
Des élus d’Al Joumhouri, d’un côté, ainsi que d’autres de Nidaa Tounes accompagnés d’élus d’autres blocs, dont Mongi Rahoui, se sont traités de tous les noms. "Après la république bananière, voici la république de la citrouille", s’est écrié Abdelaziz Kotti, élu de Nidaa Tounes, révolté par ce que nombreux élus ont qualifié de ''mascarade''.
D’autres ont contesté ce retrait tout en appelant à passer au vote, sans la lecture du communiqué : « Nous sommes en train de jouer ? Ceci est contre le règlement ! », tel que rapporté par l’agence Al Bawsala. Pour sa part, Karima Souid s'est adressée à la présidence de l’ANC en demandant : « C'est comme ça que la démocratie va avancer ? En passant son temps à faire des communiqués ? ». Les élus, irrités, ont dénoncé cette procédure « contraire au règlement » appelant à « mettre chacun devant sa responsabilité ». De son côté, Mustapha Ben Jaâfar, a accepté le retrait de la motion et a décidé de passer le communiqué au vote. Nous y reviendrons...
A lire également :
Après avoir fait campagne avec, les élus décident de retirer la motion de censure Karboul-Sfar
En effet, à la reprise de la plénière, M. Sfar et Mme Karboul ont pris la parole réitérant leurs propos tenus au début de la séance avant que Mustapha Ben Jaâfar ne redonne la parole à Iyad Dahmani, député d'Al Joumhouri, qui a créé la sensation en annonçant le retrait de la motion de censure par la majorité qui l’ont signée tout en indiquant qu’elle ne visait pas à attaquer personnellement les ministres, mais plutôt à définir les lignes rouges à ne pas franchir. Du coup, ce fut la confusion et une extrême tension dans l’hémicycle où plusieurs élus se sont indignés de cette procédure. Un véritable clash a éclaté entre Mongi Rahoui, d'un côté, Iyad Dahmani et Issam Chebbi, de l'autre, et ces deux derniers ont tous deux été traités de « vendus ». C’est une sorte de « campagne électorale avant l'heure », criaient les mêmes élus.
Des élus d’Al Joumhouri, d’un côté, ainsi que d’autres de Nidaa Tounes accompagnés d’élus d’autres blocs, dont Mongi Rahoui, se sont traités de tous les noms. "Après la république bananière, voici la république de la citrouille", s’est écrié Abdelaziz Kotti, élu de Nidaa Tounes, révolté par ce que nombreux élus ont qualifié de ''mascarade''.
D’autres ont contesté ce retrait tout en appelant à passer au vote, sans la lecture du communiqué : « Nous sommes en train de jouer ? Ceci est contre le règlement ! », tel que rapporté par l’agence Al Bawsala. Pour sa part, Karima Souid s'est adressée à la présidence de l’ANC en demandant : « C'est comme ça que la démocratie va avancer ? En passant son temps à faire des communiqués ? ». Les élus, irrités, ont dénoncé cette procédure « contraire au règlement » appelant à « mettre chacun devant sa responsabilité ». De son côté, Mustapha Ben Jaâfar, a accepté le retrait de la motion et a décidé de passer le communiqué au vote. Nous y reviendrons...
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