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Mohsen Marzouk : ce gouvernement veut le bendir et les saints...

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Dans une interview menée par Elyes Gharbi sur les ondes d’Express FM, aujourd'hui, mercredi 6 novembre 2013, Mohsen Marzouk, l’un des leaders du parti Nidaa Tounes, a réaffirmé son optimisme quant au règlement de la crise politique tunisienne.
Mohsen Marzouk a assuré que le critère de l’âge pour le choix du prochain chef du gouvernement n’était pas pertinent. Par contre, les capacités physiques et mentales des candidats doivent être au-dessus de toute remise en question à travers la présentation d’un certificat par tous les candidats.
Par ailleurs, Mohsen Marzouk a assuré que le terrorisme ne pourrait pas s’implanter en Tunisie car il existe une grande solidarité entre l’armée, la police et le peuple. Il a également déclaré que les forces internationales ne permettraient pas un tel scénario.
Mohsen Marzouk a affirmé que la crise politique actuelle serait réglée sous peu avec la participation du peuple. Quant à l’échec du dialogue national, Mohsen Marzouk a affirmé qu’il restait confiant dans le règlement de la crise tout en avouant qu’il se pourrait que le dialogue national ne soit pas la meilleure formule pour y arriver.
Epinglant le gouvernement, et dans son style ironique habituel, Mohsen Marzouk a indiqué que ce gouvernement veut qu'on lui fasse du bendir, qu'on le caresse dans le sens du poil et qu'on invoque pour lui les saints.
Mohsen Marzouk a assuré que le critère de l’âge pour le choix du prochain chef du gouvernement n’était pas pertinent. Par contre, les capacités physiques et mentales des candidats doivent être au-dessus de toute remise en question à travers la présentation d’un certificat par tous les candidats.
Par ailleurs, Mohsen Marzouk a assuré que le terrorisme ne pourrait pas s’implanter en Tunisie car il existe une grande solidarité entre l’armée, la police et le peuple. Il a également déclaré que les forces internationales ne permettraient pas un tel scénario.
Mohsen Marzouk a affirmé que la crise politique actuelle serait réglée sous peu avec la participation du peuple. Quant à l’échec du dialogue national, Mohsen Marzouk a affirmé qu’il restait confiant dans le règlement de la crise tout en avouant qu’il se pourrait que le dialogue national ne soit pas la meilleure formule pour y arriver.
Epinglant le gouvernement, et dans son style ironique habituel, Mohsen Marzouk a indiqué que ce gouvernement veut qu'on lui fasse du bendir, qu'on le caresse dans le sens du poil et qu'on invoque pour lui les saints.
M.A
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