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Tunisie - Port du Niqab à l'université : Les avis divergent à l'ANC

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Le port du niqab dans les universités tunisiennes suscite des avis divergents entre les députés de l’Assemblée nationale constituante. Les élus d’Ennahdha étant en faveur du port du niqab, expriment leur refus quant à l’obligation imposée aux étudiantes de dévoiler leurs visages à des hommes. Les autres députés de la Troïka affirment quant à eux que le port du niqab est une liberté personnelle mais préconisent en même temps l’obligation des étudiantes de prouver leurs identités.
Samia Abbou, députée CPR, déclare sur les ondes de mosaïque Fm que « le port du niqab est une liberté personnelle qu’on ne peut interdire mais qu’il est important d’imposer un certain nombre de mesures, notamment sécuritaires, obligeant les étudiantes à se soumettre aux contrôles d’identité quand la situation l’exige, et ce, quelque soit le sexe de la personne qui devra les contrôler ».
Le député CPR Mohamed Gouia, soutient également qu’il s’agit « d’une liberté personnelle » mais que « les institutions universitaires ont-elles-mêmes le droit de connaitre l’identité de ceux qui les fréquentent ».
Salma Mabrouk, députée Ettakatol affirme quant à elle que le port du niqab à l’université peut constituer « un obstacle à la communication entre l’étudiante et son professeur ainsi qu’un handicap dans sa vie professionnelle ».
Samia Abbou, députée CPR, déclare sur les ondes de mosaïque Fm que « le port du niqab est une liberté personnelle qu’on ne peut interdire mais qu’il est important d’imposer un certain nombre de mesures, notamment sécuritaires, obligeant les étudiantes à se soumettre aux contrôles d’identité quand la situation l’exige, et ce, quelque soit le sexe de la personne qui devra les contrôler ».
Le député CPR Mohamed Gouia, soutient également qu’il s’agit « d’une liberté personnelle » mais que « les institutions universitaires ont-elles-mêmes le droit de connaitre l’identité de ceux qui les fréquentent ».
Salma Mabrouk, députée Ettakatol affirme quant à elle que le port du niqab à l’université peut constituer « un obstacle à la communication entre l’étudiante et son professeur ainsi qu’un handicap dans sa vie professionnelle ».
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