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Tunisie : la BAD ouvre un débat sur les entraves au financement du commerce en Afrique
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Une conférence internationale sur le financement du commerce s’est déroulée mardi 14 avril 2009 à l’hôtel Résidence, Gammarth. Cette conférence a été marquée par le lancement d’une étude sur les principales entraves au financement du commerce en Afrique. La session d’ouverture s’est tenue en présence de Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement (BAD).
Cette manifestation a eu pour objectif principal de réunir des partenaires qui ont les mêmes préoccupations afin de mieux comprendre les effets de la crise actuelle sur le secteur privé en Afrique. Elle permettra d’identifier une approche commune capable pallier l’impact de la crise.
Cette conférence intervient à un moment opportun puisque la BAD, en tant que banque multilatérale de développement, a été mandatée par le G20 pour jouer un rôle de premier plan pour aider les pays en difficultés à faire face à la crise.
La Banque africaine de développement bénéficiera d’un montant additionnel de 850 milliards de dollars en ressources supplémentaires, affecté par le G20, qui doivent être canalisées à travers le FMI et les banques multilatérales pour soutenir la croissance des marchés émergents et des pays en développement pour financer des dépenses anticycliques, la recapitalisation des banques, l’infrastructure, le financement du commerce, la balance des paiements, le renouvellement de dettes et la sécurité sociale.
Le plan d’action de la BAD se résume en quatre points : une facilité de liquidités d’urgence, une initiative de financement du commerce, un plan d'action pour l’accélération du transfert des ressources aux pays éligibles au Fonds africain de développement (FAD), un rôle renforcé de conseil en matière de politiques économiques.
La Banque africaine de développement a prévu, en outre, de doubler ses financements aux pays africains pour les faire passer de 5 à 11 milliards de dollars par an.
Des experts internationaux ont noté les crédits ont baissé à cause des conditions de "Bâle II" qui adoptent des critères spécifiques pour limiter les risques. Les prix des prêts sont montés en flèche et le levier financier ne fonctionne plus. C’est pour cette raison que les volumes commerciaux sont en chute.
Les intervenants ont insisté sur l’importance d’agir rapidement, plusieurs défis tant à relever. Il faut axer sur le partenariat surtout intra-africain et sur l’innovation. D’autres ont fait remarquer que si une institution de triple A garantissait ces prêts, l’accès aux liquidités deviendra plus facile.
Cette manifestation a eu pour objectif principal de réunir des partenaires qui ont les mêmes préoccupations afin de mieux comprendre les effets de la crise actuelle sur le secteur privé en Afrique. Elle permettra d’identifier une approche commune capable pallier l’impact de la crise.
Cette conférence intervient à un moment opportun puisque la BAD, en tant que banque multilatérale de développement, a été mandatée par le G20 pour jouer un rôle de premier plan pour aider les pays en difficultés à faire face à la crise.
La Banque africaine de développement bénéficiera d’un montant additionnel de 850 milliards de dollars en ressources supplémentaires, affecté par le G20, qui doivent être canalisées à travers le FMI et les banques multilatérales pour soutenir la croissance des marchés émergents et des pays en développement pour financer des dépenses anticycliques, la recapitalisation des banques, l’infrastructure, le financement du commerce, la balance des paiements, le renouvellement de dettes et la sécurité sociale.
Le plan d’action de la BAD se résume en quatre points : une facilité de liquidités d’urgence, une initiative de financement du commerce, un plan d'action pour l’accélération du transfert des ressources aux pays éligibles au Fonds africain de développement (FAD), un rôle renforcé de conseil en matière de politiques économiques.
La Banque africaine de développement a prévu, en outre, de doubler ses financements aux pays africains pour les faire passer de 5 à 11 milliards de dollars par an.
Des experts internationaux ont noté les crédits ont baissé à cause des conditions de "Bâle II" qui adoptent des critères spécifiques pour limiter les risques. Les prix des prêts sont montés en flèche et le levier financier ne fonctionne plus. C’est pour cette raison que les volumes commerciaux sont en chute.
Les intervenants ont insisté sur l’importance d’agir rapidement, plusieurs défis tant à relever. Il faut axer sur le partenariat surtout intra-africain et sur l’innovation. D’autres ont fait remarquer que si une institution de triple A garantissait ces prêts, l’accès aux liquidités deviendra plus facile.
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