Saeb Souab, fils de l’avocat et ancien juge administratif Ahmed Souab, est revenu, jeudi 29 mai 2025, sur les ondes de Jawhara FM, sur l’arrestation de son père et l’affaire pour laquelle ce dernier est actuellement détenu.
Invité de l’émission « Politica », Saeb Souab a d’abord évoqué l’arrestation de son père, survenue le 21 avril 2025. Il a dénoncé la perquisition menée au domicile familial ainsi que la confiscation de tous les appareils électroniques, qu’il considère comme une atteinte à la vie privée.
Il a également rappelé que la déclaration pour laquelle Ahmed Souab est aujourd’hui poursuivi n’est, selon lui, qu’une métaphore visant à mettre en lumière les pressions exercées par les autorités sur les juges en charge de l’affaire dite du « complot contre la sûreté de l’État ».
« Mon père a même enseigné le droit administratif à des cadres du ministère de l’Intérieur, et maintenant on le poursuit sur la base de la loi antiterroriste », a-t-il déploré.
L’invité de Zouheïr El Jiss a souligné le climat de peur qui règne actuellement dans le pays. « Cet État ne comprend que le langage de la pression », a-t-il dénoncé, rappelant l’exemple du pharmacien condamné à dix ans de prison — une peine rapidement revue après la mobilisation de ses collègues — ce qui, selon lui, relève d’une justice à la carte.
Il a ensuite qualifié la détention de Me Souab d’arbitraire, soulignant que les procédures judiciaires comportent plusieurs violations de la loi.
Saeb Souab a précisé que le moral de Me Souab reste élevé et que ce dernier appelle les personnes solidaires de sa cause à garder espoir et à poursuivre la lutte.
« Mon père a toujours dit que ce régime n’est qu’un cauchemar, qu’il ne durera pas et ne pourra pas durer », a déclaré le fils de l’ancien juge, considéré comme une référence en droit administratif. Il a affirmé que la famille est prête à porter l’affaire sur le plan international.
« J’étais étudiant du président et j’ai même enseigné à ses côtés. Ce que nous sommes en train de vivre n’a rien à voir avec ce qu’il nous a enseigné », a-t-il conclu.
H.K
Les armées du "monde libre", en 2003, n'ont bougé que quand il devint urgent d'écraser un pouvoir dissident et menaçant; sa tâche a été facilité par des collaborateurs vivant à l'intérieur des frontières en synchronisant leur plan d'action avec l'action des opposants vivant à l'étranger et mobilisés pour exécuter les sales besognes de mise à mal, de leur pays. Un sénario silmilaire se joua plus récemment en Syrie sous la direction de l'ex-Mohamed Al Joulani et l'actuel Ahmed Acharaâ_ l'inoffensif ami de ses cousins les Sionistes... J'espère que l'histoire ne se répètera pas sur notre territoire à nous_ par des actions louches sous couverture d'internationalisation d'un procès.... La Tunisie, depuis 2011 est en train de subir le chantage de gens qui veulent et se presque se déclarent au dessus de la loi....
Alors que le pays, peine à se remettre, suite au chaos semé méthodiquement par les brouettistes de la maudite terka, on a encore droit à toutes formes de chantages et à de multiples sessions de vente aux enchères du pays aux puissances étrangères, par les traitres à la NATION ainsi que par leurs descendances.
Quelle honte et quelle bassesse !!
Et dire que vous avez voulu nous faire croire que vous étiez capables de transformer le pays, en une antichambre du paradis, dixit Bouchleka, Abbou et tous les autres harkis et consanguins, ayant vendu leurs âmes et leur dignité, pour poser leurs fesses sur un tabouret faisant partie de la sphère du pouvoir.
Vous avez totalement détruit le pays, les apaches.
Vous l'avez démembré !
Vous l'avez équarri !
i-kib sa3dkom et i-kib ayyém'kom, les traitres, les vendus, les r'khss, les chléyék.
Tant que le pays ne sera pas expurgé de la totalité des traitres qui le meublent, la précarité et l'insécurité, continueront à faire partie de notre quotidien.
La NATION prime sur tout le reste !!!
Vive la Tunisie libre et INDEPENDANTE, débarrassée de tous ses parasites.
