
L'Union générale des étudiants de Tunisie (Uget) a appelé à une grève générale dans l’ensemble des établissements universitaires du pays, ce lundi 7 avril 2025, pour dénoncer les crimes de génocide commis par l’occupation sioniste contre le peuple palestinien.
Dans un communiqué rendu public, dimanche 6 avril 2025, l’Uget appelle à intensifier les actions de protestation, notamment à travers des sit-in, des rassemblements et la distribution de tracts en soutien à la cause palestinienne et pour dénoncer les crimes de guerre perpétrés dans la bande de Gaza.
Le syndicat étudiant a également exhorté les citoyennes et citoyens à poursuivre le boycott de tous les produits et marques en lien direct ou indirect avec les entreprises soutenant l’occupation israélienne.
L’Uget a fermement condamné l’escalade des crimes de guerre et de génocide commis par Israël, tout en dénonçant le silence complice de la communauté internationale et des régimes arabes. L'union a par ailleurs appelé les autorités tunisiennes à accélérer l’adoption d’une loi criminalisant toute forme de normalisation avec le régime sioniste.
Ce mouvement intervient au lendemain d’une grande manifestation organisée près de l’ambassade américaine à Tunis, où des milliers de manifestants ont exprimé leur solidarité avec Gaza et exigé l’arrêt immédiat de toute coopération ou normalisation avec Israël.
S.H



Après Adam et Eve....
Comment se sont ils reproduits ?....
Gros malin....
Travailler, faire le choix de se torturer tel un martyr, gagner son pain dans la douleur, mais héroïquement est une chose, subir et accepter l'humiliation pour quelques deniers en est une autre.
Si vous ne voyez pas la différence, voici un exemple concret : ce que les britanniques ont enduré pendant le début des années 40, au point culminant de l'apogée du IIIème Reich, les bombardements quotidiens de Londres et les dégâts qu'ont fait subir les U-Boots allemands à la Royal Navy, celà s'appelle gagner (son pain) dans la douleur en 1945. Par contre, en tant que français, vous devriez savoir et ce sont les français eux-mêmes qu'ils l'admettent, la France a "gagné" la guerre dans l'humiliation.
Une différence et de taille entre effort/torture et humiliation.
J'ajouterai encore le mot dèrja "khedma" et "khadem"/"khdim"/"khaddèm" tous termes à connotation péjorative et qui soulignent, en particulier, et c'est ça le plus grave, une relation verticale d'un travail humiliant que le plus fort inflige au plus faible et la perception que réserve ce dernier à son activité : un handicap social et un fardeau psychologique. Ce constat devient de plus en plus vrai, plus en se déplace vers l'Est du monde arabe, ces sociétés orientales qui font appel à des serviteurs asiatiques pour les ménages et des ouvriers indiens, pakistanais, etc. pour la main d'oeuvre.
Et comme note finale, je citerais Rihanna, "Ray7ana" pour les intimes, information que j'ai capté sur les ondes d'une radio tunisienne dont je ne divulguerai pas le nom, et qui chantait :
"Work, work, work, work, work, work..
Dirt, dirt, dirt, dirt, dirt, dirt.."
Sur l'histoire de france, vous avez des choses à apprendre..
Et comme disait Corneille : 'Le vrai savoir donne plus lieu de trembler que de s'enorgueillir.'?'
Das gilt für alle Völker der Welt, also sprach Goethe auch.
Amicalement, L.L.
Et en occident aussi (source Orthodidacte):
"Le verbe travailler provient du latin vulgaire tripaliare, signifiant « torturer », lui-même dérivé du nom tripalium, qui désigne un instrument de torture à trois pals. Dans les mots travail et travailler, il y a donc originellement les notions de torture, de souffrance, de douleur"
Allez cher ami, au boulot!
Hhhhh
Bravo les gars, continuez ainsi ! Ce faisant, on atteindra avec vous et par vos méthodes d'abrutis l'ultime salut. L'anéantissement total d'une nation qui perçoit le travail comme une futilité mondaine, une corvée par excellence, pire une humiliation ("mahèna") de la même racine du mot arabe pour le travail ("mehna") et dont les liens de parenté sont bel et bien attestés !
Tous les prétextes sont bons pour ne pas travailler.
Meskina Tounès !
Tel un phoenix qui renaît de ses cendres, ainsi parlait Nietzsche sur le déclin des civilisations et la renaissance de celles-ci.
Car il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et il n'est pire infirme que celui qui ne veut pas l'admettre. Connaître soi-même, reconnaître ses défauts et accepter de les corriger est le début de tout remède et de toute sagesse.


