
L'avocat et ancien juge, Ahmed Souab a indiqué que la décision de réintégrer Abdellatif El Mekki a été émise par l'assemblée plénière juridictionnelle au sein du tribunal administratif, soit la plus haute instance en justice administrative. Il a affirmé que ces décisions étaient finales, définitives et incontestables.
S'exprimant le 28 août 2024 durant "Midi Show" de Chaker Besbes sur Mosaïque Fm, Ahmed Souab a expliqué qu'en cas de jugements contradictoires prononcés par la justice administrative et la justice judiciaire, on avait recours au texte de loi réglementant cette situation. Il a précisé que les décisions de l'Instance supérieure indépendante pour les élections étaient purement administratives et que la justice judiciaire ne pouvait pas se pencher desus.
Ahmed Souab a expliqué que la Loi organique n° 96-38 du 3 juin 1996 avait institué un conseil des conflits pour trancher les litiges relatifs à la compétence qui peuvent surgir entre le tribunal administratif et les juridictions de l'ordre judiciaire et contient explicitement une interdiction pour le magistrat judiciaire de se prononcer au sujet d'une décision administrative. La justice judiciaire ne peut, donc, pas retirer la qualité de candidat à Abdellatif El Mekki.
Ahmed Souab a considéré que même en cas de prononciation d'un jugement final et définitif d'interdiction de candidater, il n'aura pas d'effet rétroactif, c'est-à-dire, qu'il s'appliquera uniquement pour les applications tenues après la prononciation de cette sanction. Il a évoqué à titre d'exemple le décret n°117 du 22 septembre 2021 dont l'article n°163 indique clairement que l'interdiction de candidater portera sur les élections organisées après la prononciation du jugement.
Ahmed Souab a estimé que même en cas d'accélération des procédures et prononciation d'une interdiction définitive et finale de se présenter à la présidentielle à l'encontre de Abdellatif El Mekki, la décision du magistrat administratif prévaut sur le jugement judiciaire. En cas de litige, on devra passer par le conseil des conflits de compétence.
S.G
Kadekich NIMSS ,
Ne fut-ce le Zalèm du parti Ettakatol, le premier ministre de six mois, Elyès Fakhfakh, qui ne s'est illustré que par ses intrigues régionalistes, enrobées par plusieurs réactions honteusement enfantines, qui le limogea avec tous les membres de son gouvernement qui appartenaient à Ennahdha, Abdellatif El-Mekki serait aujourd'hui une icône de la Tunisie moderne et démocratique.
Je rappelle à ceux qui l'ignorent encore, que c'est ce Fakhfakh lui-même, qui a donné la fausse nomination du stade de Radès. Un stade de football, qui appartient par toutes les logiques de ce monde, à la plus grande et plus ancienne équipe de football du gouvernorat de Ben Arous, le Club Sportif d'Hammam-Lif, que ce Fakhfachou le nomme par un pseudonyme d'un joueur de son équipe préférée, le CSS. Non pas par le nom de joueurs hammam-Lifois, comme Hamadi Héniya, Saad Karmous ou même Anis Ben Chouikha, qui a inauguré ce stade le 06 juillet 2001, remportant la Coupe de Tunisie contre l'ESS. Un malade régionaliste, qui abuse de son pouvoir pour nous nommer notre stade de Rades, par un pseudonyme sportif d'un joueur de sa région Sfax et de son équipe le Club Sportif Sfaxien, comme étant sa réalisation bidon durant ses six mois d'un pouvoir catastrophique, sans qu'il ne sache qu'un certain "Hamadi Agrébi", n'existe nulle part ni dans cette vie, ni dans l'au-delà, puisque ce pauvre défunt joueur sfaxien, s'appelle en vérité "Mohamed Ben Rhaiem" et rien d'autre. Un tel pseudonyme fantôme appartenant au jargon sportif du Club Sportif Sfaxien, à des centaines de kilomètres de chez nous, sans la moindre appartenance à notre région, qui ne lui rapporte même pas de la Bénédiction à son vrai nom "Mohamed Ben Rhaiem" ni même à sa famille "Ben Rhaiem". Une folie des grandeurs dont souffrent les arrivistes au sommet d'un pouvoir démocratique en Tunisie, dont ils n'appartiennent nullement.
Qu'on imagine un tant soit peu, qu'on aille à Sfax, à Sousse, à Monastir, à Ben Guerdane ou même à Bizerte, leur nommer leur plus grand stade de football, par le pseudonyme du défunt joueur espérantiste "Balha", sans même lui évoquer son vrai nom "Hédi Berrekhissa". Oui c'est ça le niveau de ce premier ministre des 6 mois, qui a même limogé cette gigantesque compétence dans le domaine de la santé, Abdellatif El-Mekki, en pleine crise covid 19, pour châtier le parti d'Ennahdha, en revanche à son renversement par leur force démocratique au parlement ARP. Fakhfakh fait honneur au nom de sa famille, jusqu'à avoir limogé tous les membres de son gouvernement déjà en coma, qui appartenaient à Ennahdha, par un seul trait de vengeance "boudourou". Une folie et une absence cruciale d'appartenance à cette Patrie tunisienne. Un suicide politique jusqu'à la fin de sa vie.
Allah yostir Tounes.
2-MEKKI est condamné le 5 AOUT 2024 ,POUR CRIME ELECTORAL POUR LES ELECTIONS DE 2024, à 8 mois FERMES, et UNE INTERDICTION A VIE DE CANDIDATURE. Ses avocats, et le parquet ont déposé recours en appel. Si le verdict en 1ère instance serait confirmé EN APPEL , IL DEVIENT EXECUTOIRE IMMEDIATEMENT (NAFEDH HELLAN).Et ce verdict N'ATTEND PAS LA DECISION DE LA COUR DE CASSATION . Car , et conformément à l'article 265 du code des procédures PENALES : LA CASSATION N'ARRETE PAS L'EXECUTION (ATTAAKIB LE YOUKIF ATTANFIDH).
Article 265
Le pourvoi en cassation ne suspend l'exécution de la décision attaquée qu'en cas de
condamnation à mort, ou lorsqu'il s'agit d'une décision ordonnant la destruction d'une pièce
arguée de faux ou l'annulation de ses effets, ou d'une décision constatant la nullité d'un mariage.
Donc s'il y a condamnation EN APPEL, et meme LA VEILLE DU 06 OCTOBRE, MEKKI SERAIT eligible SEULEMENT POUR MORNAGUIA meme s'il a commencé sa campagne.
3-AHMED SOUAB ferait mieux s'il s'occupait de son client MEHDI BEN GHARBIA car MEKKI a son armée d'avocats.
4-Dire que l'interdiction s'applique pour les prochaines élections me fait rire . C'est comme s'il dit que l'exclusion d'un joueur ayant obtenu UN CARTON ROUGE s'applique pour le prochain match.Donc d'aprés lui un candidat condamné pour falsiification de parrainnage doit etre éligible, et pourrait etre Président, et CHEF SUPREME DES ARMEES et PRESIDENT DU CONSEIL DE SECURITE NATIONALE , meme s'il a accédé par LA FRAUDE!!!! Et on l'interdira dans les prochaines élections!!!!. QUEL GENIE!!!!LES TUNISIENS NE SONT PAS DUPES.ELLI BAADOU.
Votre Abdelatif Mekki ne sera jamais président, il a dans la poche gauche une condamnation de 8 mois de prison, et dans sa poche droite, une inéligibilité à vie. Personne au monde ne peut effacer ces deux sanctions.

