
La ministre de l’Éducation, Salwa Abassi, a indiqué qu’une salle d’opération a été déployée au sein de son département afin de barrer la route aux pages Facebook participant aux opérations de fraude. Elle a ajouté que les équipes du ministère infiltraient les pages liées aux réseaux de fraude.
S’exprimant le 8 juin 2024 durant « Weekend Alkif » de Afef Gharbi sur Diwan Fm, Salwa Abassi a affirmé que des réseaux de fraudes ont été démantelés et ont permis de découvrir qu’ils comptaient des professeurs. D’après elle, la fraude ne coûterait pas moins de 350 dinars par matière. Elle a, aussi, précisé que des équipements ont été déployés dans les centres d’examens afin de détecter les fraudeurs. Le personnel présent dans le centre n’intervient pas durant l’examen, mais après la fin de l’examen et en présence d’agents de police.
Salwa Abassi a confirmé qu’une équipe médicale a dû intervenir en raison d’un incident lié à une tentative de fraude. Le récepteur, communément appelé poids-chiche en jargon tunisien, s’est coincé à l’intérieur de l’oreille d’une élève. Cette dernière a communiqué des informations ayant permis d’identifier un professeur se trouvant au gouvernorat de Gafsa et participant à des opérations de fraudes.
La ministre de l’Éducation a assuré que ces tentatives de fraudes ne menaçaient en rien le bon déroulement des examens du baccalauréat. Elle a réaffirmé que la fraude lors de ces épreuves était similaire aux actes de terrorisme et une tentative de porter atteinte à la Tunisie. Elle a, également, expliqué que dans certains cas les élèves essayant de frauder se faisaient arnaquer et recevaient des équipements défectueux.
Par ailleurs, la ministre de l’Éducation a affirmé que d'ici octobre 2024 les enseignants recevront des guides comportant des exercices et des activités adoptant une nouvelle approche et stimulant l'intelligence des élèves et l'esprit critique. Ces guides porteront sur les mathématiques. Elle a mis l'accent sur l'importance de réformer le secteur de l'éducation.
s.G

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pour la réforme de l'enseignement primaire et secondaire (collège) en Tunisie, je propose d'ouvrir un débat via le web avec:
a) une dizaine de représentants des parents (en effet, il est impossible lors d'un débat de faire participer quelques millions de parents) --> pas plus d'une dizaine de représentants des parents qui auront la charge de collecter les soucis des parents.
b) faire participer une dizaine de personnes représentants les partis politiques qui auront la charge de collecter les soucis/propositions des partis politiques pour l'enseignement en Tunisie (en effet, il est impossible lors d'un débat de faire participer les 269 partis politiques existant en Tunisie )
c) faire participer une dizaine de personnes/instituteurs représentants les instituteurs de l'enseignement primaire qui auront la charge de collecter les soucis/propositions des instituteurs (en effet, il est impossible lors d'un débat de faire participer quelques milliers d'instituteurs)
d) une dizaine de personnes/profs. représentants les profs de l'enseignement secondaire qui auront la charge de collecter les soucis/propositions des profs. (en effet, il est impossible lors d'un débat de faire participer quelques milliers de profs)
e) un représentant de l'UGTT
Tous les représentants devraient avoir une bonne formation en pédagogie scolaire, en psychologie scolaire et en sociologie. Et prière, aucun spécialiste de la Psychanalyse --> en effet, la Psychanalyse n'a rien perdu dans nos système scolaires.
Le rôle du Ministère serait de gérer les donnés fournies par les différents groupes de représentants et d'en faire la base de la réforme de notre système scolaire.
J'ai moi même participé à l'université de Munich à une réforme virtuelle de l'enseignement primaire et secondaire d'un pays virtuel sur le web. Ce que je viens décrire ci-dessus est un résumé de cette réforme virtuelle.
Bonne journée
Autrement dit, diplôme ou pas, la prochaine génération de tunisiens sont des ignorants, des tricheurs et des ***Les grands meneurs de demain! Comme d'habitude quoi!
#libérez Abir et sa collègue du PDL
C vraiment incroyable .
Où sont passés les contrôleurs fiscaux .
Salwa Abassi, ne parle pas politique : «où Kaïs Saïed ira, j'irai», ni qu'elle ne cherche à créer une autre Caverne d'Ali Baba au sein du ministère de l'Education nationale, dans l'idée de former une bande pour son futur parti de lèche-bottes. Elle ne parle que de ses projets constructifs pour le bien de nos nouvelles générations. La lutte contre les tricheries qui nous ont créé des nullards dans tous les domaines. L'amélioration des conditions de l'enseignement et de l'état des lieux, dans les régions rurales. Elle dénonce les criminels parmi le corps éducatif, avec une clarté jamais vécue en Tunisie. Une femme de fer précieux. Bien sûr qu'ils vont la saboter et qu'ils vont activer leur ancienne machinerie de sabotages et d'intrigues. Mais néanmoins, ils ne vont réussir que des pets puants, qui ne leur lèsent qu'à eux seuls.
Mes suggestions à mon humble personne, se limitent au refus total et absolu, du retour aux examens de concours pour le passage de la sixième année primaire, à l'enseignement secondaire. Moi-même j'ai trop souffert par cette injustice. J'ai réussi le Certificat de fin d'études par un diplôme en carton plus beau que le diplôme du baccalauréat, mais on m'a dit que j'ai échoué le concours de la sixième année et j'ai dû recommencer cette maudite année, sans jamais avoir connu les raisons ni de près, ni de loin, bien que je fusse parmi les excellents de mes classes et que mes rédactions en arabe «inchè», furent presque toujours honorées par leurs lectures en classe. Des youyous à la maison et un beau cadre doré pour mon certificat de fin d'études primaires «Chahèdè», mais j'étais redoublant par la faute de ce maudit concours de la sixième année primaire. Je vous conjure au Nom d'Allah le Tout Puissant, de ne plus refaire cette gigantesque bêtise de Bou-Petit-Cou, qui a détruit tous ceux qui ont du trac lors des examens.
Allah yostirnè wè yostirkom wè yostir Ommèt Saydounè Mohamed salla Allah alayhi wè sallèm.
N'ont-ils pas une morale et une déontologie à respecter?
Le ministère doit agir avec fermeté et exclure définitivement les enseignants impliqués.
Chaque fraudeur mérite la radiation à vie avec un jugement exemplaire.
Avec Kaissoune, c'est certain.
Si cela s'était passé entre 2011 et 2013, le professeur en question aurait probablement bénéficié d'une promotion !!!!!
Souvenez-vous des conditions appliquées à cette époque. Le B3 devait être chargé au max pour être éligible au poste de ministre, député et chef de service, du moins, dans la majorité des cas !!!!
Ces voyous il faut les interner pour une bonne période.
Un châtiment exemplaire !