
Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a souligné, lundi 26 juin 2023, que son pays ne reculerait pas devant les réformes que la Tunisie pourrait mettre en œuvre assurant, toutefois, qu’il est « difficile d’exiger la levée des compensations sur le pain et le carburant pour éviter les tensions sociales ».
S’exprimant en marge du Conseil des Affaires étrangères de l’Union européenne, selon une dépêche de l’agence de presse italienne, Nova, le responsable a avancé qu’il était possible de faire d'autres réformes. Il a ajouté, toutefois, que l’Italie soutenait un décaissement de fonds à la mise en œuvre des réformes.
Notant l’importance d’une « participation européenne » à la résolution de « la question tunisienne », il a déclaré : « Nous devons essayer de résoudre le problème financier, assurer la stabilité du pays et de l'Afrique du Nord, et réduire les flux migratoires ».
« Nous ne devons pas oublier l'importance du front sud de la Méditerranée », a-t-il poursuivi soulignant qu’il espère que « tout le monde comprenne l'importance de la stabilité de la Tunisie alors qu'il y a une guerre aux frontières de l'Europe ».
Samedi, un haut responsable européen a avancé que les aides européennes pour la Tunisie seraient tributaires d’un accord entre le gouvernement de Najla Bouden et le Fonds monétaire international (FMI), selon l’agence de presse italienne Aki. La même source a indiqué que l’Union européenne espérait parvenir à un accord sur le programme d’aide européenne à la Tunisie avant le sommet européen qui se tient les 28 et 29 juin.
N.J
Un peuple sous la dictature d'un sous préfet de la France tel que Biya du Cameroun, Embolo de Bissau, Sassou du congo, Maky Sall du Sénégal, Bazoum du Niger, Bongo du Gabon, Caca Deby du Tchad et autres se chargent d'asservissement les peuples subsaheriens pour plaire à leur maître Parisien.
Tiens, au fait. Il paraît que la maison mère, la France, elle est dirigée par un denseur de claquettes ( François Gisberg ) ou, un adolescent en pleine croissance, d'après Mme Catherine Nay.
Africains subsahariens, debarassez vous de ces sous préfets dictateurs sanguinaires et vassaux de la France.