
Le président de l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (Jica), Akihiko Tanaka a indiqué, ce lundi 29 août 2022, à Tunis, que son pays examinera la possibilité d'une assistance financière au profit de la Tunisie, une fois qu'un accord de financement avec le Fonds Monétaire International (FMI) sera conclu.
"L'accord avec le FMI servira de base de discussion avec les institutions financières dont la Jica", a-t-il déclaré lors d'un point de presse, tenu au bureau de l'Agence à l'occasion de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (Ticad 8) qui s'est tenue les 27 et 28 août courant à Tunis.
"A l'issue de cet accord, la Tunisie sera appelée à mettre en œuvre les réformes économiques nécessaires. Une fois ces réformes engagées, le Japon sera prédisposé à lui apporter une assistance financière", a ajouté le président de la Jica.
Le 17 août 2022, le ministre de l'Economie et de la Planification, Samir Saïed, a indiqué que le programme national de réformes, présenté par le gouvernement tunisien au Fonds monétaire international, sera soumis au conseil d'administration du FMI au début du mois de septembre 2022, assurant qu’il est optimiste pour parvenir à un accord avec l’instance financière internationale. Saïed a ajouté que le problème n'est pas de parvenir à un accord avec le FMI, mais qu’il s’agit plutôt d’un problème interne. Il a souligné la nécessité de parvenir à une entente entre toutes les parties pour trouver des solutions, d'autant plus que "l'économie tunisienne traverse une situation très critique".
S.H (Avec Tap)
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Marre de voir tous nos prets filer, pour ensuite etre octroyé en tant que "masse salariale' de ces vadrouilleurs.
Et on a les preuves. Compris
Même chose pour Brahmi et les autres.
Tous des assassins voilà ce que vous êtes.
Et puis vous avez dirigé le pays pendant dix ans et vous l'avez massacré et vous osez parler maintenant soi-disant de derrière le rideau "nabbar" c'est facile. Ma tihchmouch watin Barra ithab rawwah ya chlakna 2
A suivre.
Même Saied cloîtré dans sa magnifique solitude et son mépris des institutions internationales.
Y a plus qu'à se plier aux règles, ou se débrouiller seuls.
Et le Japon veut des actes, pas des phrases et des intentions gazeuses!
Ce n'est sûrement pas un hasard si Toyota a envoyé une délégation pour discuter de la création d'une unité d'assemblage de véhicules au même moment, et réclame les mêmes réformes avant de se décider...