
Une réunion entre des membres du gouvernement, menés par la cheffe du gouvernement, Najla Bouden et le bureau exécutif de l’UGTT, en présence de son secrétaire général, Noureddine Taboubi, s’est déroulée, vendredi 15 avril 2022.
Cette réunion avait pour objet d’examiner la situation des entreprises et de la fonction publiques. Selon le journal Echaâb, la centrale syndicale a réaffirmé son attachement aux accords du 6 février 2021, notamment l’activation de 46 accords sectoriels en suspend depuis 2015. L’UGTT a par ailleurs, abordé la nécessité de finaliser les négociations autour du statut de la fonction publique, dont le retard a généré des perturbations.
D’autre part, l’UGTT assure que le gouvernement ne s’est pas montré prêt à reprendre les négociations concernant l’augmentation des salaires ou celle du SMIG. D’après l’organe de presse du syndicat, le gouvernement a exprimé son intention de révéler au peuple « en toute franchise, la réalité de la situation économique et des finances publiques », la qualifiant de « crise accablante et sans précédent ».
Le gouvernement a également demandé à l’UGTT de donner son avis sur le programme de réformes proposé au Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre des négociations.
I.L.

Pour ton dernier commentaire, encore une contre-vérité ! Les ingénieurs polytechniciens ne restent pas en Tunisie. Ta colère devrait plutôt être dirigée envers tous les recrutements faits aunom de la compensation sous la troïka enre 2012 et 2014.
Si la Tunisie avait une politique attractive, alors oui, on aurait pu avoir des gens compétents, des polytechniciens, centraliens, mines etc.
Mais pose-toi la question s'il te reste quelques neurones: pourquoi ces tunisiens trouvent leurs places à travailler dans de grands groupes, à enseigner dans les universités les plus prestigieuses avec les meilleurs salaires et facilités, plutôt que de rentrer en Tunisie et servir son pays ?
La réponse est évidente ;)
dégagez tous ces inutiles super diplomés qui meublent les bureaux à ne rien faire, à commencer par les polytechniciens ...
5 faits parmi d'autres confirment cet état des lieux :
un taux d'inflation réel qui dépasse certainement les 20 % fait inédit depuis 1986
les résultats dérisoires, comiques même, de la lutte contre la spéculation et l'économie informelle
le taux de désinvestissement productif et le taux de faillite des PMEs, en hausse de plus de 70%
la hausse vertigineuse et soigneusement dissimulée du chômage des jeunes
l'absence de propositions sérieuses pour desserrer l'étau de l'économie de rente
Face a une UGTT totalement incapable d'évaluer l'ampleur des défis et menaces ainsi que des formes a mettre en '?uvre et d'accepter l'instauration d'un état d'urgence économique
on est dans une situation explosive
ce ne sont pas les entrainements intensifs des forces anti-émeute, et de l'achat pour un montant dépassant les 50 milliards d'un arsenal répressif , au détriment de l'aide COVID 19, qui vont apporter la solution
les dizaines voire centaines de morts que Kaes Saed et son sbire Charfeddinne sont d'ores et déjà prêts a assumer seront les martyrs de l'incompétence de l'imbécilité de la fainéantise et de la lâcheté de cette administration publique ennemie numero 1 de notre destin
Qu'ils soient condamnés à de très lourdes peines car ces assassins, et le mot est faible, sont les premiers responsables de tous les malheurs de notre pays, de la stagnation des activités économiques, du gel de la réalisation des équipements, de la fuite ou de l'embrigadement désespéré de milliers de jeunes et de la mort de beaucoup d'entre eux à la fleur de l'âge, du chômage d'autres milliers de jeunes, de la misère, de la maladie qui ne peut pas être soignée faute de moyens, du mal logement ou du manque de logement, de l'ignorance rampante résultant de l'échec ou l'abandon scolaire, enfin de la misère intellectuelle qui gangrène la population par la diffusion de théories rétrogrades et abjectes.
Voilà où nous ont mené cette bande de crapules, cette associations de malfaiteurs, de scélérats.
Que toutes les fortunes amassées par ces ignobles personnages soient confisquées jusqu'au dernier millimes et reversées dans les caisses de l'état.
Et que cette période sombre que nous avons traversé soit enseignée dans les écoles, lycées et universités pour que les jeunes générations ne puissent pas, dans leur futur, recommencer ces mêmes actes de banditisme sous couvert de prérogatives ministérielles, parlementaires ou municipales.
GROW UP !!

