
Le député et ancien dirigeant nahdhaoui, Abdellatif Mekki a publié un statut, lundi 4 avril 2022, estimant que le président de la République aurait reçu le vice-président de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Farouk Bouasker, suite à des pressions diplomatiques étrangères ayant pris forme d’une rencontre de courtoisie.
Abdellatif Mekki a indiqué que cette rencontre serait un signe pour dire que l’instance n’était plus visée et qu’elle poursuivrait la supervision des élections, « mais aurions-nous toujours besoin d’une intervention étrangère pour garantir des élections libres et intègres dès qu’il y a un refus d’accords internes pour ne pas dire de dialogue ? Serait-il possible d’organiser des élections libres et intègres alors que « Monsieur Saïed » est partie prenante, tout en ayant la main sur la sécurité, l’armée, l’administration, le gouvernement, les médias publics et refuse toute autorité de contrôle ? », s’interroge Abdellatif Mekki.
Rappelons que le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu le vice-président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Farouk Bouasker. Selon un communiqué de Carthage, le chef de l’Etat a souligné la nécessité que l’Instance soit pleinement préparée aux différentes échéances à venir.
Farouk Bouasker a déclaré, pour sa part, que la rencontre a été l’occasion de parler de la situation juridique de l’Isie et de son degré de préparation pour les prochaines échéances électorales. « Nous avons aussi souligné l’importance de veiller au respect de l’indépendance et de la neutralité de l’Instance qui constitue un des acquis de la révolution » a-t-il ajouté.
S.H
Un jour qu'il était en expédition contre une cité ennemie, après avoir accompli so ouvrage, le soir venu fit installer son campement au milieu de nulle part en terre hostile.
Il dîna, et après s'être rassasié et bien bu, son meilleur zmi un sage lui fit cette remarque :
Te voici en terre étrangère, installé sous une tente confortable, mais es-tu rassuré sur ta sécurité lorsque le sommeil te gagnera ?
Le Roi lui répondit que c'est le rôle de ses gardes de veiller sur lui.
Peux-tu faire confiance à tes gardes, en somme à qui revient la charge de garder tes gardes, le reprit l'ami sage ?
Le roi le reprit aussitôt: c'est La Loi qui garde mes gardes.
Je propose de garder les gardes de La Loi, chez nous, afin que nul ne s'avise à les enfreindre, à l'exemple de ces députés gelés, dissous, qui continuent à se croire députés.
Ce serait utile, aussi, d'appliquer cette sentence à nos juges qui ont oublié cette fonction de la loi.
Celle de veiller à la bonne tenue des institutions et tenir dans les limites du légal certains personnages qui référent à la loi qu'ils n'ont pas honorée quand ils étaient rois.
Quand le président KS essaie d'avancer, ils remettent ses initiatives sous l'effet de la pression étrangère; et cela, met du baume sur leur c'?ur meurtri par la situation dans laquelle ils sont.
Le président KS prend ses décisions en pensant respecter la loi et la constitution et pour répondre aux attentes du peuple.
Lors de ses interventions, il a toujours martelé que la Tunisie est un pays souverain et qu'il ne pouvait accepter aucune pression en contradiction avec l'honneur du pays.
Qu'on se le dise une fois pour toutes.
Ce qui est le plus probable, c'est que Saied n'a tout simplement pas d'autre choix que de faire appel à l'Isie pour l'organisation des scrutins électoraux.
C'est ridicule et surtout que cela a été vérifié après l'énorme massacre ces appelés nahdha, qu'ils ont causé à la Tunisie.
Mais seulement puisque c'est leur unique chance de s'enrichir par la politique, qu'ils insistent à revenir à utiliser leurs arnaques et leurs duperies; quoiqu'ils ont déjà ramassé beaucoup d'argent, propre aux tunisiens et à la Tunisie, durant les onze dernières années.
Et de rappeler que certains d'entre-eux gardent encore plusieurs avantages en leur faveur.
Tout comme Larayadh qui n'a été qu'en secondaire et inscrit les années soixante-dix (sans) bac à la marine marchande.
Et que d'autres de nahdha sans compétence, ni c.v. mais désignés par ghanouchi lors de leur sinécure, nourris logés a lo'dres, par des mercenaires