
Les employés de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT) ont entamé une grève sauvage, mercredi 1er décembre 2021, pour protester notamment contre le non-versement de leurs salaires, prenant en otage les citoyens qui se sont trouvé devant le fait accompli et suscitant de ce fait colère et tension.
Dans une déclaration à Mosaique Fm, le secrétaire général de la Fédération des chemins de fer relevant de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) Larbi Yaâcoubi, a indiqué que l’organisation avait envoyé un courrier à l’autorité de tutelle à la date du 12 novembre 2021 pour la tenue d’une réunion au sujet des accords non-appliqués et sur la situation de la société. Mais, ce courrier est resté sans réponse, d'après ses dires.
Le syndicaliste a expliqué que les salaires n’ont pas été versés, laissant plus de 5.000 employés au dépourvu, n’étant pas capables de subvenir à leurs besoins.
Pa ailleurs, le syndicat reproche la non-nomination d’un nouveau PDG à la tête de la société depuis le limogeage de l’ancien responsable début octobre dernier, un facteur aggravant qui est la cause directe de la situation actuelle et l’arrêt de certains dossiers, selon lui.
Les agents protestent également contre l’arrêt depuis une quinzaine de jour de la ligne n°13 reliant Sfax à Tozeur.
Ce mouvement de protestation non-annoncé a mis en colère les citoyens, pris au dépourvu et qui se sont sentis pris en otage, notamment les élèves qui sont en train de passer les examens.
I.N
Pauvre citoyen Tunisien, volé, opprimé, destructuré il ne sait plus ou il doit y aller.
Gréve ou pas.... il faut que les salariés du transport se rendent chez Ghannouchien...le seul responsable avec les maffieux de cette situation.
Est puni de dix ans d'emprisonnement et de vingt mille dinars d'amende, quiconque, sans ordre légal, aura capturé, arrêté, détenu ou séquestré une personne.
On sera bientôt amené à choisir quel fonctionnaires virer.
'?a sera rapide