
« On pense aujourd’hui, que combattre la corruption c’est se réjouir de l’emprisonnement des personnes qui ne nous plaisent pas ou alors qui n’ont pas à un moment servi nos intérêts. Aujourd’hui, lutter contre la corruption c’est mettre devant soi un ministre et discourir et lancer des menaces à tout va, mais ce n’est pas ça lutter contre la corruption », a lancé la présidente du PDL, Abir Moussi, lors d’une conférence de presse tenue ce mercredi 27 octobre 2021.
Abir Moussi a estimé que la lutte contre la corruption doit commencer par lutter contre ses origines et ses causes. « Nous tenons, à travers notre campagne d’éclaircissement à montrer aux Tunisiens que la situation est catastrophique mais en étant sur le terrain et pas en lançant des slogans. Les gens qui ne cessent de parler du peuple, y compris le président du pouvoir en place, je les défie de savoir où se situent certains patelins dans les délégations où ils veulent engager leur projet de démocratie de base et de conseils régionaux », a-t-elle poursuivi.
Présentant les premiers bilans de la campagne du PDL, axés cette fois sur le système agricole, la présidente du parti n’a pas manqué de tancer le président Kaïs Saïed en lui rappelant que la souveraineté nationale n’est pas d’insulter l’Union européenne ou les Etats-Unis mais de « garantir la nourriture à son peuple » et de réaliser l’autosuffisance nécessaire pour garder la tête haute et ne pas céder aux chantages.
« La sécurité alimentaire est un des fondements de la souveraineté et la sécurité alimentaire est aujourd’hui menacée dans le pays. Nous allons vous montrer que le temps va venir, où quand sera dissipée cette transe, nous allons nous réveiller sans céréales, sans légumes et rien pour remplir les couffins. Un jour viendra où on ne trouvera plus d’eau ni dans le robinet ni dans les bouteilles » a ajouté Abir Moussi.
Le PDL a présenté, lors de la conférence, des témoignages de citoyens, dans différentes régions concernant le secteur de l’agriculture et ses problématiques. Il a pointé les défaillances dans les textes et dans la gestion des dossiers par les différents gouvernants, soulignant que le secteur est miné par la corruption et qu’il est grand temps de se pencher sur la question.
M.B.Z
Madame Abir est très mal conseillée et finira avec 0.1% des voix à la prochaine élection législative par sa propre faute et idiotie...
la baronne Madame Abir Moussi avec un petit troupeau autour d'elle fait de la propagande à la con. En effet, elle fait fausse route si elle croit qu'avec ses mises en scènes elle pourrait remporter la prochaine élection législative et conquérir Carthage. Elle est très mal conseillée et finira avec 0.1% des voix à la prochaine élection législative par sa propre faute et idiotie...
Je lui conseille urgemment de poser d'abord une plainte contre ses agresseurs islamistes que de nous faire du théâtre à la con.
Certes le thème de l'autosuffisance alimentaire est très important et même cruciale, mais pourquoi agresser les autres verbalement pour un sujet que 99,99% des tunisiens sont de l'avis du Président de la République,
Il vaut mieux la corriger que de la laisser ruiner la popularité qu'elle s'est construite durant les derniers 24 mois, oui salir son image de politicien est très vite fait
@Madame Abir Moussi, voilà ce qui pourrait intéresser les Tunisiens:
1) poser d'abord une plainte contre vos agresseurs islamistes comme vous l'avez promis récemment
2) les Thèmes de la sécurité alimentaire et sanitaire sont très importants, faites plutôt des propositions constructives et intelligentes plutôt que d'agresser les autres
3) la création de l'emploi est très importante pour la Tunisie et tous les Tunisiens
4) comment se débarrasser de nos dettes extérieures?
5) amélioration de notre loi électorale
6) protection environnementale
7) la prévention contre les catastrophes naturelles
etc., etc., etc.
@Madame Abir Moussi, abordez plutôt les thèmes qui intéressent les Tunisiens, nous sommes fatigués de vos agressions verbales inutiles et de vos problèmes personnels du genre "Abir Moussi interdite d'accéder au carré des martyrs à Bizerte"
Elle a semé la pagaille au parlement et participé à la mise aux pas du processus démocratique.
La sebaba de Ben Ali ne peut pas parler de sécuritaire alimentaire et des problèmes agricoles.
C'est sous Bourguiba Ben Ali qye tous ces samsaras ont détruit notre agriculture .
Aujourdui , il faut à ce pays, des hommes ( et des ') nouveaux, des compétents qui sont capables de maîtriser ce monde moderne et sa complexité pour tenir les reines de ce pays et le propulser dans le futur.
Nous vivons sur du sable mouvant dans monde impitoyable où il n y a de place que pour les meilleurs, ceux qui sont prêts à le maîtriser et capables de faire .
La classe politique actuelle, globalement, a montré son incapacité à entreprendre quoi que se soit de positif pour ce pays et ses habitants.
Kais Saied, Moussi une sabeba, Ghanouchi, Taboubi et les autres sont incapables de faire avancer ce pays.
On le voit, Ils n'ont ni la formation ni la capacité ni le savoir-faire ni même le langage pour enclencher cette vitesse vers le futur.
Ce sont des hommes du passé dépassés .
Entre un utopiste populiste, un adepte d'un consensus stérile et contre productif, une sebaba et un destructeur de l'économie du pays rien de bon ne pourra se produire pour ce pauvre pays. La synergie n'est qu'un désastre pour le pays.
La solution est que les tunisiens , conscients des dangers existentiels les menaçant, s'organisent pacifiquement mais fermement,
pour prendre leur destin en main .
Ils doivent imposer une direction compétente à la tête du pays. Des têtes nouvelles bien éduquées, compétentes maîtrisant la complexité d'un monde moderne mouvant et impitoyable, capables de relever les graves défis auxquels notre pays est confronté, doivent immerger. Plutôt jeunes..
Cette volonté populaire ne peut s'exprimer correctement que dans le libre choix.
Elle ne peut être durable que dans le cadre des institutions démocratiques.
Donc nous devons par les voix pacifiques imposer le retour aux institutions et à la Constitution.
Dans la foulée, des élections présidentielles et législatives libres et transparentes doivent être organisées. Cette fois-ci, les tunisiens sont prévenus.
Ils doivent bien choisir.
En attendant, comment voulez-vous résoudre les défis du pays en appliquant une théorie mort-né celle du " pouvoir des soviets " ?
Pourquoi notre boîte à vitesse n'a de rapport que celui de la marche arrière ?
Pourquoi sommes-nous frappés par une malédiction ?
Pourquoi les tunisiens n'ont ils pas le droit de travailler et vivre dignement dans leur propre pays et dans le respect mutuel en apportant leur propre pierre à la planète ?
-Le collectivisme des années 60 a eu pour conséquence la déstructuration totale du secteur sans proposer une autre alternative.
-Dans la décennie 2000 l'orientation politique était d'importer des céréales parce que leurs cours mondiaux étaient très bas au lieu d'encourager la production locale. Cette orientation a eu pour conséquence la sortie d'une quantité énorme de devises avec la a crise de 2007 et la flambée des cours.
-Concernant l'huile d'olive le représentant de l'UE a déclaré en 2019 " que l'huile d'olive est exportée en vrac de puis toujours parce que la spéculation tient à la préservation de positions non concurrentielles par des positions d'entente et de monopole(des positions qui remontent à l'empire ottoman)".Le pays n'arrive pas à améliorer la valeur ajoutée de ce' secteur vital.
-Un autre problème concerne le nord ouest région agricole par excellence. qui a été délaissé Ainsi a titre indicatif des communautés localisées aux environs des barrages ne sont pas alimentées en eau potable alors que l'eau est acheminée vers des villes lointaines..
Cela i a entrainé la migration d'une partie de la population vers les villes côtières et la création de ceintures rouges autour des grandes villes
Apres 2011 les tensions politiques et la mauvaise gestion ont aggravé les problèmes.
Il n'y a pas de miracle et il n'y en aura pas .Ces partis politiques avec une vision dépassée et egocentrique ont montré leurs limites et doivent balayer devant leur porte.
Seule une société civile structurée, préoccupée par l'avenir du pays, pourra empêcher les dérives politiques telle qui ont mis a mal le pays depuis l'indépendance
Mais la bouffonne oublie qu'elle a harcelée les islamistes, juste parce qu'elle ne les aimait pas ?!!
Les fascistes se reconnaissent en elle ,et en le débile facho !!!
Cela chagrine ceux qui se distinguent par la vacuité de leurs discours.
Il laboure le terrain, écoute et construit son projet.
C'est du travail politique, le vrai.
Les autres sont occupés, plutôt préoccupés à voir comment faire la répartie au dernier qui a causé afin de lui voler la vedette.
C'est pourquoi nous ne pouvons prétendre avoir des politiciens ayant un projet pour le pays.
Dix années durant quoi nous assusyames à un jeu de chaises musicales entre les mêmes au point que chacun presque aurait voulu être à lui seul un parti politique.
Ils ont ainsi facilité l'ouvrage aux islamistes dont l'avantage sautait aux yeux par leur unité, fut-elle de façade et juste là pour peser afin de dominer et se maintenir au pouvoir.
Les résultats sont visibles et mesurables sur les plans politique, social, économique.
Un recul inquiétant dans tous les domaines et des perspectives peu reluisantes, y compris depuis le coup de frein du 25/7.
Patce qu'une nouvelle alliance a vu le jour et qui traverse tous les clivages, enfin ceux prétendument déclarés, contre la nouvelle donne.
Kais Saied devint l'ennemi à combattre, et les excès des diatribes le montrent par leurs formules toutes prêtes et les insinuations les plus osées quand ce ne sont pas des assignations.
Le PDL, lorsqu'il porte la critique en dispose les arguments. Il ne porte pas de jugements de valeur, il jauge et analyse ce qui se dit en même qu'il note ce qui se fait.
Surtout, il propose dans toutes les directions.
Quand il appelle à mettre un terme aux manigances d'une secte ou en appelle à la mise hors la loi de ceux qui diffusent la haine ou opposent les tunisiens entre eux, il vise juste.
C'est si vrai qu'on ne compte plus désormais les critiques venues du camp des plus enthousiastes et qui ont acclamé le coup du 25/7.
On peut regarder passer les trains.
On peut choisir de monter à bord, et avec les autres voyageurs décider de la direction, de la vitesse et du but du voyage.
L'autonomie alimentaire est essentielle pour la souveraineté nationale. Elle est aussi fondamentale pour soutenir la "troisième jambe" qui est le secteur touristique. Le touriste "profitable" du futur est très exigeant en termes de qualité de produits alimentaires.
L'agriculture pourrait être une source importante d'entrée de devises.
Le drame de l'agriculture en Tunisie est que les prix des produits agricoles sur le marché interne et les marchés internationaux ne reflètent pas leurs coûts de production. Résultat : très faible productivité, rarificattion extrême de la main d'oeuvre agricole, exode rural et délabrement des grands centres urbains (Tunis, Sousse, Sfax, etc.) et même des petites villes, immigration clandestine et le phénomène Lampadousia.
Fondamental: La vérité sur les prix agricoles est essentielle pour transformer, moderniser et augmenter les productivités. Le coût du couffin du Zaouli va continuer d'augmenter sans une intention stratégique claire du secteur agricole. Les petites réductions ici et là et la fameuse filière directe producteur-consommateur ne vont pas améliorer la situation. Ces tactiques vont plutôt frustrer les ménages à faible revenu et causeront des mouvements sociaux et donc une instabilité économique et politique permanente.
Pas besoin de tout ça. Il faut juste mettre un terme au passé
et à l excès de verbe, se montrer actif, solidaire et mettre la main dans la mélasse.Les problèmes sont connus de tous et il est tps de les traiter ensemble wakahaw!
ou comme on dit en allemand, : "Celui qui dit un mensonge n'est plus cru, même s'il dit la vérité."
Auf Deutsch sagt man : "Wer einmal lügt, dem glaubt man nicht mehr und wenn er auch die Wahrheit spricht."