tout les conducteurs,chauffeurs publiques même les ambulanciers des hôpitaux ! Il faut réviser leurs situations! Qui dit qu'ils sont tous en ordres avec la loi !? 10 ans, on vivait avec des trafiquants et des falsifiants, des corrompus tout court

Concernant l'octroi des licences pour les taxis et les louages, la règle est simple et à l'image de notre système pourri et corrompu.
Tu payes une "rachoua" et tu obtiens ta licence, tu refuses de payer et ton dossier part aux oubliettes !

Par pitié c'est quoi la valeur ajoutée de relayer ce genre d'info.
Que dit le premier texte? Que dit le deuxième abrogé?
Vous vous relisez des fois?

Est-ce qu'il y a un seul économiste ou journaliste qui a effectué une enquête sur ce job "lucratif", enérgivore (et subventionné par l'état de A à Z)? et qui est la cause essentielle du massacre de l'économie tunisienne, ainsi que les recrutements anarchiques dans la fonction publique centralisée à Tunis, et que ces taxieurs applaudisseurs de nahdha (donant-donnant bien sûr lors des élections de cirque) ne permettent pas d'abord au bus (de l'état tunisien) de les concurrencer à Tunis et ce en provoquant, à chaque occasion des grèves lorsque le gouvernement met à la disposition des citoyens des bus, obligeant ainsi à ce citoyen défriché déjà de partout à prendre ce maudit taxi avec son chauffeur assis confortablement derrière sa caisse tout en provoquant des problèmes soit avec les clients ou les automobilistes, d'ailleurs trois ou quatre présumés chômeurs (qui jouent les victimes de ne pas trouver du travail alors qu'ils qu'ils ne veulent pas travailler les métiers fatiguants ou nécessitant un apprentissage) se succèdent à le driver par roulement puisque ce véhicule fonctionne 24/24 et sera remplacé si nécessaire par un autre neuf aisément au "quart de tour"par un autre prêt dérisoire réciproquement aux rentrées quotidiennes de l'argent du citoyen.
Ce n'était pas seulement les conséquences néfastes pour l'économie tunisienne par ce moyen lucratif, mais ces nababs se permettent d'acquérir des logements un peu partout dans les quatre gouvernorats surpeuplés de Tunis, et puis de les destiner à la location à d'autres généralement ceux qui sont allés à Tunis après avoir obtenu de la part nahdha un recrutement (pour la forme dans un des ministères où des sociétés publiques à Tunis bien evidement; la pauvre Tunis devenue archicomble au cours de la dernière décennie.
Les journalistes n'osent pas narrer ce sujet devenu tabou pareillement à d'autres sujets non moins importants.
Le journalisme c'est l'audace et non pas de faire volte-face.

Est-ce qu'il y a un seul économiste ou journaliste qui a effectué une enquête sur ce job "lucratif", enérgivore (et subventionné par l'état de A à Z)? et qui est la cause essentielle du massacre de l'économie tunisienne, ainsi que les recrutements anarchiques dans la fonction publique centralisée à Tunis, et que ces taxieurs applaudisseurs de nahdha (donant-donnant bien sûr lors des élections de cirque) ne permettent pas d'abord au bus (de l'état tunisien) de les concurrencer à Tunis et ce en provoquant, à chaque occasion des grèves lorsque le gouvernement met à la disposition des citoyens des bus, obligeant ainsi à ce citoyen défriché déjà de partout à prendre ce maudit taxi avec son chauffeur assis confortablement derrière sa caisse tout en provoquant des problèmes soit avec les clients ou les automobilistes, d'ailleurs trois ou quatre présumés chômeurs (qui jouent les victimes de ne pas trouver du travail alors qu'ils qu'ils ne veulent pas travailler les métiers fatiguants ou nécessitant un apprentissage) se succèdent à le driver par roulement puisque ce véhicule fonctionne 24/24 et sera remplacé si nécessaire par un autre neuf aisément au "quart de tour"par un autre prêt dérisoire réciproquement aux rentrées quotidiennes de l'argent du citoyen.
Ce n'était pas seulement les conséquences néfastes pour l'économie tunisienne par ce moyen lucratif, mais ces nababs se permettent d'acquérir des logements un peu partout dans les quatre gouvernorats surpeuplés de Tunis, et puis de les destiner à la location à d'autres généralement ceux qui sont allés à Tunis après avoir obtenu de la part nahdha un recrutement (pour la forme dans un des ministères où des sociétés publiques à Tunis bien evidement; la pauvre Tunis devenue archicomble au cours de la dernière décennie.
Les journalistes n'osent pas narrer ce sujet devenu tabou pareillement à d'autres sujets non moins importants.
Le journalisme c'est l'audace et non pas de faire volte-face.

C'est le genre d'article coutumier de la presse Tunisienne et qui est à proscrire.
Vous parlez de 2 circulaires sans préciser leur contenu.
Quel intérêt dans ces conditions pour un lecteur de business news qui n'est pas du domaine ?

Bonjour,
Citoyen 1950, vous venez d'exprimer tout haut ce que tout le monde pense tout bas, pas uniquement à propos de cet article, mais plus généralement à propos des prestations très médiocres de nos journaliste.
L'auteur se contente d'écrire un article qu'il meuble autant que faire se peut avec 3 ou 4 paragraphes. Il oublie au passage sa mission principale et les attentes des lecteurs : informer avec de la matière pertinente (voire analyser l'information présentée et ouvrir des pistes de réflexion au lecteur, mais c'est utopique à notre niveau) et surtout éviter un enchainement d'assertions sans queue ni tête...