Le Conseil de la Choura du mouvement Ennahdha a rendu public, lundi 23 novembre 2020, un rapport détaillant ses recommandations liées à la situation socioéconomique actuelle.
Il a appelé à « un dialogue économique et social national », dont les résultats seront « la clé de la sortie de crise » en se penchant sur les problèmes majeurs de l’économie tunisienne.
Le rapport du conseil émet, en effet, d'autres recommandations concernant le budget de l'Etat, qui se présentent comme suit :
-La révision des hypothèses budgétaires adoptées en se basant sur « des hypothèses plus réalistes » dans le but d’éviter l’ajustement répétitif des budgets. Il a été recommandé dans ce sens de prendre en compte les éventuelles répercussions au vu du développement de la crise actuelle. Ce qui nécessite la rationalisation des dépenses, l‘optimisation des importations et le renforcement du contrôle sur toutes les formes d’évasion fiscale. Un plan détaillé devrait être mis en place afin de lutter contre toutes sortes de corruption.
-L’activation de plusieurs anciennes dispositions fiscales, l’instauration de la stabilité législative pour rassurer les investisseurs et la publication du Code fiscal tunisien.
-La poursuite du dialogue entre le gouvernement et la Banque centrale avec la consultation de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) pour s’accorder sur les modalités possibles permettant de fournir les fonds nécessaires. Le rapport souligne la nécessité d’utiliser ces fonds pour le développement, ce qui favorise la croissance économique mettant en garde contre toute « exagération ».
- La nécessité de réduire la pression fiscale, estimée à 25,4 % en 2020. « La pression fiscale représente l’une des principales raisons de l’augmentation de l’évasion fiscale dans le pays et la diminution de l’investissement », a-t-on noté dans le rapport, appelant à l’encouragement du recouvrement des créances fiscales.
Le Conseil de le Choura a, ainsi, appelé le gouvernement à œuvrer pour mettre en place une « souscription nationale en devises » pour la mobilisation des ressources, consacrée aux Tunisiens à l’étranger. Il a été également proposé d’émettre un bon du trésor ou un prêt d'un milliard de dinars répartis entre le marché financier et les institutions financières. L’augmentation du plafond de la contribution des étrangers aux bons de trésor.
Au sujet des dettes extérieures, le conseil nahdhaoui a demandé au gouvernement d’œuvrer également à stopper l’hémorragie de l’endettement extérieur, en cherchant d’autres modalités de financement. L’adoption de la loi sur le financement des grands projets nationaux pourrait permettre de fournir les liquidités nécessaires.
Par ailleurs, le Conseil de la Choura a exhorté le gouvernement d’accélérer la mise en œuvre de plan d’action détaillé et d’entamer la préparation du prochain plan quinquennal de développement.
Il a été proposé, également, d’augmenter le budget du ministère de la Santé et des municipalités et d’accorder plus d’attention au secteur agricole.
I.M.
Pour être un homme d'?tat, il se former et passer par de multiples étapes, responsabilités et expériences.
Démolir et puis chercher à réparer et construire, c'est la politique des novices incompétents.
Toujours cette qualité qui manque, qui fait défaut : l' anticipation, chercher à nuire, faire des dégâts, le constat est là, tout le monde le sait.
Un membre de ce parti, pour justifier l'échec : c'était juste une erreur de CASTING, oui monsieur vous avez raison, ça ressemble beaucoup à la préparation d'une émission de variétés ou le recrutement d'employés pour une entreprise. Une erreur de CASTING, il y'a de quoi se flinguer.
Je vous rappelle qu'il s'agit de l'?tat messieurs, l'?tat, vous savez ce que c'est l'?tat ?
Quand ne possède pas de compétences, on ne peut gouverner, il faut recruter ou laisser la place à ceux qui ont la capacité pour gérer les affaires.
C'est élémentaire, c'est évident, ça saute aux yeux.
Mais quand on est aveuglé, assoiffée de pouvoir, voilà où nous en sommes !
Ce cri de détresse ne servira pas à grand chose, sauf pour confirmer ce constat désolant.
Concernant le dialogue, il faut espérer ouvrir les portes pour les vrais compétents patriotes, relégués jusque là au second plan.
La participation des forces vives de la nation, mis dans l'ombre, est plus qu'indispensable.
Quand aux politiques, écartez vous et laissez vous oublier, laissez la place aux pros.
L'évasion fiscale et lutte contre la corruption, vous aurez du l'exercer sur vos alliés (Klebs tounes) qui vous ont hissé au perchoir malgré votre maigre connaissance des dossiers et Vos incompétences avérées.
Pays plongé dans une crise aigüe économique et financière depuis votre avènement, une décennie entière qu'on est empêtré dans ce sable mouvant.(Manai)
Appeler à ce dialogue c'est simplement "tuer sa victime et assister à son enterrement" (proverbe égyptien). C'est du cynisme pur et dur, ce qui est loin d'être étranger aux moeurs de cette congrégation ! Ils veulent en réalité ne pas rater le coche, d'autres formations politiques ayant déjà suggéré la tenue de telles assises. On fait semblant de se joindre à la harde, alors que les résultats leur indiffèrent complètement.
Pour leur recommandation d'une « souscription nationale en devises », gageons que si l'on se limitait uniquement à des taxes sur les sommes indûment perçues par les membres de ce "conseil" et leurs affidés, ainsi que sur les montants accumulés à l'étranger par évasion ou par des affaires parallèles, l'Etat disposerait de ressources suffisantes à la réalisation des objectifs de l'initiative !
Si c'est avec les milieux mafieux y compris UGTT cela veut dire un arrangement sur le dos du peuple tunisien.
Comme l a été le dialogue national au temps de feu BCE et le quartet.
5 ans après le pays est dans une situation pire.
Parce qu'en faite, le dialogue national façon tunisienne, veut dire une entente entre des parties dont les intérêts sont contradictoires donc un armistice.
Or le pays a besoin de reformes structurelles urgentes . Il est impossible de les mener par exemple dans le secteur publique sans mettre tous profiteurs corrompus de l'ugtt hors d'etat de nuire.
Donc le dialogue économique et social ( comme l'histoire des technocrates ) est un leurre pour gagner du temps et ne servira que les intérêts que ceux qui y participent sur le dos des intérêts supérieurs de la nation.
C'est aussi vider le processus démocratique de sa substance.
Il y a eu des élections il faut respecter le choix des tunisiens. Les partis politiques doivent s'y soumettre ou se démettre. Il ne faut pas continuer à tremper les électeurs.
Si non il faut refaire les elections. Je le répète le dialogue national national chanté aux tunisiens est un leurre , une fuite en avant pour certaines parties de leur responsabilité et une ruse pour d'autres corrompus ( ugtt.. et tous ces clans mafieux ech.) pour bloquer toute vraie reforme dans ce pays qui menacerait leurs intérêts corrompus.
Si non cla veut dire quoi dialoguer avec un syndicat comme l'ugtt , un syndicat dont beaucoup de ses membres sement la corruption dans le secteur publique. Comment dans cas peut on reformer ce secteur avec un tel syndicat ?
Autant dialoguer avec le peuple directement et imposer les réformes. Voilà un vrai dialogue. Et si la makina tente de saborder ces réformes, elle aura le peuple en face.
de minables voyous qui vendent leur religion et leur pays aux amé pour satisfaire leur gourou criminel
