
Le fondateur de Machrouû Tounes, Mohsen Marzouk, a réitéré, samedi 11 juillet 2020, ses appels à un retrait de confiance à Rached Ghannouchi, président du Parlement.
Mohsen Marzouk réagissait, en effet, au scandale survenu, vendredi, après que le député Seif Eddine Makhlouf a fait entrer de force au Parlement son invité fiché S17 – avec la bénédiction de Rached Ghannouchi et de son chef de cabinet Habib Khedher – bien qu’interdit d’accès par la Garde présidentielle.
Il a également jugé que l’auteur de ce « crime » (Seif Eddine Makhlouf, ndlr) avait dépassé toutes les lignes rouges en faisant entrer au Parlement un individu « suspecté de terrorisme ».
Le politicien a affirmé que ceux qui sont impliqués dans cette opération « sordide » devraient être considérés comme « le bras politique du terrorisme en Tunisie ».
« Nous appelons, à nouveau, les forces nationales, celles qui sont à l’intérieur et à l’extérieur du Parlement, à se réunir dans un seul et même front national pour protéger l’Etat et le peuple du danger de l’extrémisme et du terrorisme qui les guette », a-t-il écrit sur sa page Facebook.
N.J.


Permettez-moi de vous poser cette question qui me tarrode l'esprit depuis un moment .
Je suppose que comme moi vous avez remarqué l'intensité du clivage politico-idéologique qui ronge notre pays et rend sa gouvernance presqu'impossible.
Que pensez-vous de la divivision de petit bout de pays, un pour les guauchos et un autre pour les concervateur et les islamistes.
Chacun aurait son drapeau, son hymne nationale sa monnaie, sa religion sa politique et même si on veut son histoire.
Croyez-moi c'est mieux pour tous et tout le monde y trouverait son compte et vivra pleinement son idéologie et ses préceptes
J'aimerais bien avoir votre réponse sur le principe, et son idée sur le tracé des éventuelles frontières
Bon dimanche
Encore un symbole de la désunion qui se prend pour un chef
les ennemis de la Tunisie sont nombreux au parlement
Idhè lèm tèstahi, faâfaâl mè chiit.
La banalisation de ce gravissime type d'incident prend de plus en plus d'essor.
Des chiens enragés, opérant pour des puissances extérieures, sentent leurs jours menacés, du fait que le peuple est désormais au courant de leurs multiples forfaitures.
Pour parer à cet aléa, ces bouffons traitres imposteurs affamés, jouent le tout pour le tout, afin de pouvoir conserver durablement leur statut fraichement acquis, statut dont ils n'auraient jamais accédé, même dans leurs rêves les plus fous
Ces citoyens de cinquième zone, ne cessent de créer le buzz, en abusant du populisme, si cher à leur parterre de fans, symbolisant unanimement, le summum de l'ignorance dans toute sa splendeur.
L'absence de l'état les encourage à aller toujours de l'avant.
Ces pingouins, fruits inégalables de la consanguinité, n'ont rien à perdre. Ils sont conscients que le dispositif de préchauffe du siège éjectable sur lequel repose leur arrière train de bouseux, est activé.
Nous vivons une période très dangereuse depuis les dernières élections législatives.
L'état, les patriotes, ont grand intérêt à se secouer.
Ils doivent absolument se réveiller avant que nous atteignons une situation irréversible.
Seul une union solide pourrait éventuellement faire face à ces gardiens d'étables et d'écuries, qui ne cessent de jouer aux chefs de guerre, depuis un bon moment.