Mouzal alias The Mirror et bcp d'alias.
beauuuuucoups !!!
La chaîne Al Arabiya a diffusé, en ce soir du vendredi 27 septembre 2019, la première partie du documentaire, « Chambres noires » qui jette la lumière sur l’affaire de l’appareil secret du mouvement Ennahdha et son lien avec les assassinats politiques.
Etayé par les déclarations et documents de preuves présentés par les avocats du comité de défense des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, le documentaire rappelle le rôle joué par Mustapha Khedher et les missions d’espionnage qui lui ont été confiées, ainsi que les documents qui ont été saisis chez lui.
Les documents montrent, également, la relation étroite entre Mustapha Khedher et Ridha Barouni, dirigeant au sein du mouvement Ennahdha. Imen Gzara, membre du comité de défense a indiqué qu’il y avait plusieurs contradictions dans les aveux de Mustapha Khedher. « Mustapha Khedher a affirmé qu’il a reçu les équipements d’espionnage au siège du mouvement Ennahdha. Par la suite, il s’est rétracté, et il a indiqué qu’il les a reçus dans un café qui se trouve devant le siège », a-t-elle dit.
D’autre part, des documents ont été affichés, démontrant que ce même Mustapha Khedher avait des relations et détenait des informations concernant les assassins de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, et qu’il détenait même des informations concernant la localisation du terroriste Abou Iyadh, activement, recherché par la police. Outre son implication dans d’autres affaires d’espionnages concernant les Frères musulmans en Egypte et une autre affaire de kidnapping en Italie.
Ahmed Ouerghmi, ancien membre du mouvement islamique et résident en France a affirmé dans son témoignage que le mouvement islamiste cherchait à occuper des postes sécuritaires et militaires.
Ainsi les membres du comité de défense affirment, documents à l’appui, que l’appareil secret d’Ennahdha constitue « une sécurité parallèle basée sur le noyautage du ministère de l’Intérieur et de l’appareil judiciaire ». Ridha Radaoui a a indiqué que « Rached Ghannouchi se trouve à la tête de cette organisation secrète, il est épaulé par l’un de ses gendres, Abdelaziz Doghesni. On retrouve par la suite Ridha Barouni puis Mustapha Khedher ».
S.H
La chaîne Al Arabiya a diffusé, en ce soir du vendredi 27 septembre 2019, la première partie du documentaire, « Chambres noires » qui jette la lumière sur l’affaire de l’appareil secret du mouvement Ennahdha et son lien avec les assassinats politiques.
Etayé par les déclarations et documents de preuves présentés par les avocats du comité de défense des martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, le documentaire rappelle le rôle joué par Mustapha Khedher et les missions d’espionnage qui lui ont été confiées, ainsi que les documents qui ont été saisis chez lui.
Les documents montrent, également, la relation étroite entre Mustapha Khedher et Ridha Barouni, dirigeant au sein du mouvement Ennahdha. Imen Gzara, membre du comité de défense a indiqué qu’il y avait plusieurs contradictions dans les aveux de Mustapha Khedher. « Mustapha Khedher a affirmé qu’il a reçu les équipements d’espionnage au siège du mouvement Ennahdha. Par la suite, il s’est rétracté, et il a indiqué qu’il les a reçus dans un café qui se trouve devant le siège », a-t-elle dit.
D’autre part, des documents ont été affichés, démontrant que ce même Mustapha Khedher avait des relations et détenait des informations concernant les assassins de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, et qu’il détenait même des informations concernant la localisation du terroriste Abou Iyadh, activement, recherché par la police. Outre son implication dans d’autres affaires d’espionnages concernant les Frères musulmans en Egypte et une autre affaire de kidnapping en Italie.
Ahmed Ouerghmi, ancien membre du mouvement islamique et résident en France a affirmé dans son témoignage que le mouvement islamiste cherchait à occuper des postes sécuritaires et militaires.
Ainsi les membres du comité de défense affirment, documents à l’appui, que l’appareil secret d’Ennahdha constitue « une sécurité parallèle basée sur le noyautage du ministère de l’Intérieur et de l’appareil judiciaire ». Ridha Radaoui a a indiqué que « Rached Ghannouchi se trouve à la tête de cette organisation secrète, il est épaulé par l’un de ses gendres, Abdelaziz Doghesni. On retrouve par la suite Ridha Barouni puis Mustapha Khedher ».
S.H