alexametrics
samedi 03 mai 2025
Heure de Tunis : 08:09
Dernières news
Ahmed Hachani révise à la baisse les chiffres de Kaïs Saïed
03/04/2024 | 20:42
1 min
Ahmed Hachani révise à la baisse les chiffres de Kaïs Saïed

 

Le chef du gouvernement, Ahmed Hachani, a présidé, mercredi 3 avril 2024, un conseil ministériel restreint dédié au dossier de la Cité médicale Les Aghlabides, à Kairouan.

L’exposé présenté au chef du gouvernement décrit les différents aspects du projet et ses objectifs. Le communiqué de la Kasbah évoque “la possibilité notamment de créer environ 42 mille emplois en plus de créer de nouveaux marchés pour l'exportation de produits innovants dans le domaine de la santé”.

 

 

Lors d’une autre réunion, c’est pourtant un chiffre plus important qui avait été annoncé. Le président de la République, Kaïs Saïed, présidait le 10 juillet 2020, la réunion de la commission chargée de la mise en œuvre du projet de la cité médicale aghlabide de Kairouan.

 

 

Il a souligné, dans une vidéo postée par Carthage, l’importance de ce projet, qui permettra de créer “près de cinquante mille emplois”.

 

Un chiffre qu'il donnera à nouveau lors d'une autre visite à Kairouan en février 2021.

 

 

C’est donc un chiffre revu à la baisse qu’annonce aujourd’hui la Kasbah. Quatre ans plus tard, les ambitions semblent avoir été lourdement révisées.

 

M.B.Z

 

 

03/04/2024 | 20:42
1 min
sur le fil
Tous les Articles
Suivez-nous
Commentaires
Rachid
Cité médicale kairouan
a posté le 05-04-2024 à 12:49
Tout ça pour ça !
Décevant de la part de Business news, qui doit s'attaquer à plus important et plus engageant pour l'avenir du pays.
Un expert comptable
50000 ou 42000
a posté le 04-04-2024 à 11:58
8000 en plus ou en moins... Milliards, millimes... 150 millions d'euros... Bof ! C'est tout pareil aujourd'hui...
Soupiquet
La soupe du blabla
a posté le 04-04-2024 à 11:46
Des chiffres farfelus qui n'ont aucune realité, soit disant il vont creer 50 000 emploi ! Soit disant il vont creer des marché innovent !
La seule innovation qui fonctionne, c'est de tromper un pays en racontant tout et n"importe quoi a des sens dent
Soukeina
Un délire
a posté le 04-04-2024 à 09:22
'?coutez ce délire de KS est pathétique.
Une conception dépassée de l'exercice de la médecine à l'ère de la télé médecine.
Une folie quand on sait que tous les hôpitaux manquent de tout.
13 nouvelles structures hospitalières sont en construction, qui va travailler dans ces structures ? Quels médecins ? Quels infirmiers ? Avec quels salaires?
Le premier ministre n'a pas le courage d'écouter les conseils des experts.
Tous autour de la table savent que ce projet est une folie furieuse mais tous veulent garder leur poste même si la Tunisie doit payer le prix.
L'attitude de ces ministres et conseillers est l preuve que le pays est entre les mains d'opportunistes.
JOHN WAYNE
LE SAFSARI DE L'INFINI ET LE HIJAB DU NEANT
a posté le 04-04-2024 à 07:09
Il y eut un temps ou la Tunisie était gérée d'une poigne de fer par un homme petit de taille mais dont le regard bleu scintillait d'intelligence. Cet homme nommé Habib Bourguiba avait compris très tôt que non seulement le point faible des Tunisiens residait en leur religion, mais que leur plus grand point faible était eux-mêmes. Bourguiba n'y allait pas de main morte lorsqu'il s'agissait de mater un peuple qui une décennie auparavant se nourrissait de superstition et de Marabouts, quand il ne tendait pas le pot de chambre au résident général.
Mon expérience au sein de l'armée Tunisienne m'a rapidement fait comprendre que Bourguiba était un patriote qui avait compris qu'au sein du peuple Tunisien subsistait une fascination pour la religion et la métaphysique, mais aussi pour le colon Français en général.
Me voici donc enrôlé dans l'armée Tunisienne au début des années 1960. A cette époque je travaillais aux côtés d'un sergent en chef si brun de peau qu'il ressemblait à un Indien des tribus Sioux, surtout que ses yeux étaient bridés et que sur son front subsistaient des cicatrices de saignée comme on le pratiquait encore dans les villes du Sud ou subsistait ignorance et sous-développement profond. S'ajoutait a cela quelques molaires en or, séquelles de multiples caries dentaires passées sous silence, misère de gourbi oblige.
L'homme en question que l'on appelait « Mon Sergent » était plutôt cruel et traitait les jeunes recrues comme l'on traite une bête. Sa méthode favorite consistait à faire courir le grand lot de paresseux et de grands dadets fraichement recruté, chaussés de bottes en cuir dans lesquelles il y avait placé de petits cailloux afin de leur infliger la douleur nécessaire à les soulager de leur paresse ou de leur couardise. Beaucoup de jeunes recrues étaient des cancres originaires de villes de l'intérieur et parlaient l'Arabe avec un accent bédouin tenace.
Un jour, on amena a ce supérieur une jeune recrue. Le jeune homme en question avait à peine la vingtaine et se présenta accompagné de sa Mère, une femme corpulente, petite de taille et vêtue d'un safsari en pleine chaleur d'été . Le jeune homme avait visiblement beaucoup de mal à se détacher de sa Mémère. Celle-ci voyant ses larmes de crocodiles et son front suintant de sueur, lui infligea une correction verbale spectaculaire, le traitant de lâche et lui rappelant que servir son pays était un honneur n'ayant pas son égal.
Les souvenirs de cette époque me font encore sourire ou plutôt rêver en ce morne mois de Ramadan ou chaque soir, je sirote comme à l'accoutumé un verre de Whisky de couleur rouille, cadeau de mon fils qui est haut cadre à Londres ; et cela en admirant les photos de Bourguiba et de Ben Ali posées sur mon bureau de style colonial.
Il y avait quelque chose de digne et de puissant chez la femme en safsari de la péri-indépendance. Elle évoquait a la fois résignation et courage face a une puissance coloniale profondément raciste ayant exploité un peuple et un pays pendant près d'un siècle. La femme en safsari était moderne et forte même si elle était souvent dépourvue d'éducation. La femme en safsari était l'indépendance et la dignité même.
La femme en hijab est une femme aux aspirations qui démolissent et ternissent celles de la femme en safsari des années du protectorat.
Celle qui organisait des réunions nationalistes clandestines la nuit ; celle qui rêvait d'indépendance et qui cachait une petite photo en noir en blanc de Bourguiba dans son sein. Celle qui a sans broncher donné la vie a des douzaines d'enfants sans compter ceux n'ayant pas survécu a ses fausses-couches. Celle dont les seins flasques tombaient dans la Hammam parce qu'elle a allaité sans ne jamais compter.
Le hijab est l'antithèse lamentable de l'histoire du Nationalisme Tunisien et de la Tunisie indépendante. Il symbolise la soumission a des pays de l'Islam orthodoxe n'ayant ni passé nationaliste ni histoire tout court et qui se limitent a des bases militaires américaines dissimulées au milieu de centres commerciaux ou rodent citoyens privilégiés servis par des esclaves Indiens, Pakistanais, ou Philippins.
La religion et le syndrome du roumi sont deux maux qui seront toujours transmis de génération en génération au sein de la population Tunisienne selon un mode de Mendel dominant même un siècle après l'indépendance.
L'avenir de la Tunisie réside en la création d'un régime et d'une société militaire qui luttera activement contre ces deux tares menaçant son existence même.

JOHN WAYNE






matieregrise
Article pathétique
a posté le 04-04-2024 à 00:13
Vraiment, vous n'avez plus rien d'intéressant à proposer. Pathétique