
Le porte-parole du tribunal de première instance de Kairouan, Ahmed Guedri a indiqué que la parente interpellée après avoir agressé une enseignante à l’intérieur d’une classe de l’école Mongi Slim à Sbikha a été soumise à un examen psychiatrique.
Intervenant le 4 avril 2024 durant « Houna Tounes » de Moez ben Gharbia su Diwan Fm, Ahmed Guedri a précisé que le ministère public s’était chargé de l’affaire après en avoir été informé par le commissariat de police de Sbikha. Le directeur de l’école et une partie du personnel de l’école avaient officiellement déposé plainte suite à l’agression ayant eu lieu le matin du 3 avril 2024.
D’après le porte-parole du tribunal, la parente avait agressé plusieurs enseignants et des employés de l’école. Plusieurs vidéos montrant cela avaient été relayées sur les réseaux sociaux. Le ministère public a décidé de placer la dame en détention. Elle est accusée de violences à l’encontre d'un fonctionnaire public agissant dans l'exercice de ses fonctions et d’entrave à la liberté du travail.
« Selon ses premières déclarations, la dame exprimait sa colère au sujet de la dégradation des résultats de son fils… Elle demandait qu’on mette son fils à la première rangée… Elle a subi une expertise médicale… Ceci a prouvé qu’elle ne souffrait pas de désordres psychiatriques… Elle n’a par ailleurs pas de dossier médical prouvant des antécédents psychiatriques », a-t-il dit.
Ahmed Guedri a assuré que l’expertise menée par un médecin avait démenti les rumeurs au sujet de l’état psychologique de la dame. Ceci signifie qu’elle sera tenue pénalement responsable de ses actes et en assumer les conséquences.
S.G

Parce que le prof représente l'autorité et le savoir.
A l'inverse, prendre le parti de l'élève contre le prof, détruit la hiérarchie de fait, l'autorité.
Si cela se produit, le jeune se sent tout permis. Or sans autorité et sans savoir, une société ne fonctionne pas.
Alors il se peut que survienne un désaccord avec un prof. Alors les parents prennent un rv avec le prof, et discutent hors la présence de l'enfant. Ensuite, on explique à l'enfant ce qui va et ce qui ne va pas.
La bonne femme dont on parle ici construit un voyou, pas moins.
Idem pour la violence. Non, dès tout petit, on ne frappe pas. Ni la petite soeur, ni le petit frère, ni le chat ni le chien.
Tout acte de violence -oui, de violence- doit absolument être puni. Même au plus jeune âge, dans le cadre familial. Si aucune punition ne vient, à 17 ans on s'explique au couteau...
Mais il y a des populations qui se croient en dehors des lois.
Que faut'il faire?
Franchement je n'en sais rien. Peut-etre déjà appliquer les lois? En France elles ne sont pas appliquées.
On ne punit pas. Serait-ce la solution?
Depuis 1956 vous n'avez pas trouvé le chemin du civisme?
L'aisance de se croire au-dessus de la loi
Cette rumeur sortie en bonne uniforme avec des page soutient qui partagent sans compter pour disculper la dame
Une dernière chose
Le geste de provocation fait par la main de la dame sur la tête de la maîtresse un geste que je reconnais très bien chez la confrérie du ....
j'espere que s'il y a sanction, elle sera d'interet general en faveur de l'ecole
Mahmoud