
Le responsable de l'unité d'information et de communication et substitut du procureur de la République près du Tribunal de première instance de Tunis, Mohsen Dali a expliqué, ce lundi 8 février 2021, dans une déclaration accordée à Business News, les raisons de l’appel interjeté par le ministère public à la décision du juge d’instruction dans l’affaire Sami El Fehri, patron de la chaîne El Hiwar.
Mohsen Dali a indiqué que le premier mandat de dépôt émis par la chambre de mise en accusations contre Sami El Fehri avait été annulé par la Cour de Cassation, soulignant qu’un deuxième mandat avait été émis à son encontre. « Maintenant, est ce qu’il faut retenir le premier ou le deuxième mandat pour déterminer la durée maximale de détention. Dans la confusion, le ministère public a interjeté appel à la décision du juge d’instruction, et c’est à la chambre de mise en accusations de trancher sur la durée à retenir ».
Rappelons que Me Essid a affirmé, dans une publication sur sa page Facebook, que le juge d’instruction avait ordonné la libération de M. Fehri après quatorze mois de détention préventive, sauf que le Parquet a décidé de faire appel.
S.H
Toutes les chancelleries étrangères installées à Tunis le savent , le voient , et ont en informé leurs pays respectifs ( d'où les claques des tribunaux Suisses , Italiens et Français ! )
Voilà un pays où même la Cour de Cassation ( c-t-d la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire Tunisien ) , quand elle juge et annule une mise en examen , se voit envoyer paitre par le premier juriste du parquet qui passe !
Et quand on se penche sur le dossier Fehri d'une manière sérieuse , on se rend compte qu'il est .... " vide " !
Alors on invente des artifices , on joue la montre , on marchande .... ce n'est donc plus de la justice , mais des règlements de compte ! Point barre ! ( et tout le monde sait qui tient la barre ).
Rien ne justifie que cet homme reste en prison si longtemps , il pouvait être assigné à domicile , sous contrôle judiciaire , et interdit de voyage .
Mais non , il faut intimider , menacer , saisir et tuer à petit feux , et tant pis pour la présomption d'innocence , l'erreur judiciaire , la santé fragile et toutes ces " fumisteries " , après tout , nous sommes respectueux des droits de l'homme et du citoyen , et notre meilleure constitution au monde les garantie noir sur blanc !
Mr Fehri n'a donc pas de chance , il fait partie des hommes de médias et de TV sur qui le mauvais sort s'acharne , et il devrait demander conseils à un certain Said Jaziri , " respectable député " , dont les bonnes manières ne sont plus à prouver !
Oui , Mr Jaziri , qui lui peut se targuer d'un dossier bien chargé , jouit de toute sa liberté et n'est jamais inquiété par la justice très équitable de notre pays !
Il a beau être à la tête d'une radio pirate qui se paye la tête de tout le monde '?'. Il ne craint RIEN !
Qu'on en juge un peu : " des discours abjects sur les femmes en pleine séance de l'arp , des menaces verbales et insultes enregistrées et filmées contre Mr Hichem Snoussi ( dirigeant de la Haica ) , de l'encerclement le 7 déc. 2020 du siège de cette administration , du blocage de la rue , comme du financement occulte de sa chaine , ou de son passé délictueux au Canada " , rien ne semble venir le gêner ou l'embêter de la part de notre justice !
Et pourtant il se donne du mal !
Etonnant , non ?
Alors merci à ce Mohcen Dali de venir justifier l'injustifiable , mais ça ne sert plus à rien , et comme le disait Pierre Dac , " quand la justice n'est plus juste , l'injustice est exacte " !
Rien que l application des lois rien que les lois et toujours les lois.
Une nouvelle mode est née. Une mode qui n'existe dans aucun pays, aussi bananier fut-il. Laisser croupir les gens en taule par déni de justice. Ou pour le dire en français compréhensible: parce que le juge est incompétent ou n'a pas les "couilles" pour juger.
C'est comme si votre garagiste incompétent gardait votre voiture le temps de comprendre son problème. Mais en plus grave, car nos fameux merdolutionnaires en quête de droits et de libertés se permettent ce que Ben Ali n'osait jamais pu faire; puisque les regards d'Amnesty international étaient constamment braqués sur lui.
Ces pratiques, aujourd'hui courantes dans le pays des droits de l'homme de Akher Ezmen, n'avaient eu lieu dans la Tunisie Libre de Ben Ali que pour les implications dans les affaires terroristes (souvent avec des preuves irréfutables), et seulement durant la décennie 90 où la guerre civile algérienne fut contenue dans ses frontières par le miracle benalien.
100.000 algériens morts par le terrorisme justifient peut-être un peu ces mesures sans lesquelles ont aurait eu au moins 10.000 morts.
Mais aujourd'hui, croupissent en prison, sans l'intervention d'Amnesty international (qui ne travaille que des agendas atlantistes et n'a cure des droits de l'homme), des responsables et leur ministre de l'environnement, tout simplement pour avoir osé faire leur boulot; à savoir traiter les dossiers qu'ils ont sur la table. Dans cette affaire où l'Italie a expliqué aux autorités tunisiennes que les responsabilités de ce qui est arrivé n'incombent qu'au côté italien et que le ministère tunisien n'est pour rien dans tout cela. Et malgré cela la bêtise de certains continue à sévir. Ils devront être jugés un jour pour avoir laissé les gens en prison.
Des gardes à vue interminables, des arrestations arbitraires, le temps de comprendre (comme si l'on ne pouvait pas laisser les gens en liberté et à la disposition du juge), des pratiques dignes du moyen âge dans le pays qui reprochait à Ben Ali des pratiques semblables envers les potentiels terroristes.
Je crois que le temps de juger les acteurs de la politique, du législatif et du judiciaire, dans la période post-merdolution approche à grands pas.
L'autorité Juste reprendra ses droits; Parole de Léon.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Justice equal Injustice....
Des gens croupissent 14 mois en attente d'1 procès et queue dal!!!
Alors, on rejoue la partition "mouch halal" juridiquement...
Et les gueux incultes sont tombés dans la "nasse" des diables tunisiens qui logent à:
La Kasba et l'hARPe et sa fausse musique centriste, mouch démocratique mais walahi halal de chez Moshé mon ami de la Synagogue de St-Georges juste à 100 m de la grande et son barbelés!
Ainsi vont les "Merdolutions" mouch halal, je voulais dire "Injustice"!
Le déni de justice, également appelé déni de droit, est le refus par une juridiction de juger. Le déni de justice constitue une atteinte à un droit fondamental. En droit civil, si la loi est obscure ou si aucune loi ne s'applique au litige qui lui est soumis, le juge doit « dire le droit » en remontant si besoin est aux principes généraux du droit, sous peine de se rendre coupable de déni de justice.
(En droit pénal, par contre, le doute doit profiter à l'accusé.)
Alors Ingénierie des Conduites de Procédure Pénale à défaut c'est un labyrinthe
Répondez moi car C votre style d'analyses en mettant toujours en avant notre déshonoré "Code de Procédure Pénale dont vous êtes le digne "héritier".
Bonne journée comme on dit dans nos contrées sauvages de notre Europe Occidentale .
Ingénieur Judiciaire!
Plus aucune structure n'est capable de juguler cet effondrement qui est ineluctable et voulu
C'etait l'objectif de l'absence de reformes des structures sécuritaires et judiciaires, pourtant déjà moribondes et dénuées de légitimité des 2012
désormais comme dans le cas de Fehri on ne cherche meme plus a respecter les formes ; au contraire la capacité de deni de justice devient un facteur de puissance et un element de négociation politique
Seul nous reste Kaes Saed conscient mais terriblement amorphe