
L’ancien ministre d’Intérieur, chef du gouvernement et actuel vice-président d’Ennahdha Ali Laârayedh a été interpelé, ce jeudi 7 mars 2019 par Sofiène Ben Farhat dans son émission Midi Med sur Radio Med, sur la fameuse fuite du chef d’Ansar Chariaa Abou Iyadh de la mosquée Al Fath alors qu’elle était totalement encerclée.
Cette interrogation a fait sortir le dirigeant islamiste de ses gonds, en expliquant que depuis 2012, il a répondu à cette question des dizaines de fois.
Et de souligner : «On a voulu arrêter cet individu, mais ses partisans sont venus le défendre et se préparer à l’affrontement avec les forces de l’ordre. Lorsque les directeurs généraux du ministère ont estimé qu’il y a un risque d’un bain de sang dans la mosquée et ses environs sans garantie qu’il soit arrêté, ils se sont rétractés et j’ai approuvé leur décision. Je suis responsable des vies humaines. (…) Une affaire judiciaire a traité cette affaire».
« Je suis une victime du terrorisme, je suis menacé de mort depuis que j’étais à l’Intérieur. Je suis la victime du terrorisme du gouvernement. Je connais la valeur de la vie humaine car ma vie a été une cible à un certain moment », a-t-il martelé.
I.N

Commentaires (26)
CommenterGâteau
"terroriste un jour, terroriste toujours"
larayedh peut il nous dire pou quel crime il a ete emprisonne ?
la meilleure défense c'est l'attaque
@LE TUNISIEN
Le leur a été réécrit par des charognards affamés, sans foi ni loi.
Salutations
Soubhana Allah
Un terroriste terrorisé !
Mais ne s'entend-il pas ?
Un gouvernement qui a peur d'affronter des hors-la-loi !
Et l'on se demande d'où vient le comportement anarchique de ceux du marché parallèle et autres car depuis seule l'impunité avais pris des galons.
Pauvre Tunisie.
Que Dieu bénisse la Tunisie.
Minable !!
Minable !!!
Blablabla
Les incapables leurs place est dans les poubelles!