Le membre du Conseil de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), Adel Brinsi, a révélé, mercredi 15 décembre 2021, que le président de la République n’avait pas consulté l’Isie avant d’annoncer son calendrier pour l’organisation d’une consultation nationale et d’élections anticipées en 2022.
Intervenant sur les ondes de Shems FM, il a rappelé que l’Isie était la seule institution habilitée à organiser des élections et des référendums précisant, dans ce sens, que l’organisation d’élections devrait faire l’objet d’une étude minutieuse en termes de déroulement et de timing et répondre à des normes internationales bien définies.
Adel Brinsi a noté, toutefois, que l’Isie était d’accord sur l’organisation des législatives anticipées et que si missionnée par le président de la République, elle travaillerait sur l’aboutissement du plan de Kaïs Saïed suivant le calendrier qu’il avait fixé.
Interpellé sur la révision du Code électoral prévue en 2022 avant l’organisation des législatives anticipées, M. Brinsi a indiqué qu’en 2019 plusieurs parties étrangères s’étaient exprimé contre la révision de la loi électorale avant la tenue les élections législatives et présidentielle de 2019 en partant du principe : « il ne faut pas changer les règles du jeu en cours de partie ».
Il a évoqué, dans ce même contexte, les propositions qu’avaient élaborées, alors, l’Isie laissant entendre que l’archive pourrait être mis à la disposition de la présidence de la République.
Le locataire de Carthage a, rappelons-le, décidé de maintenir le gel des prérogatives du Parlement jusqu’à l’organisation d’élections anticipées le 17 décembre 2022. Mais avant ce suffrage, une consultation populaire sera organisée entre janvier et mars 2022. A l’issue de cette consultation, une commission sera constituée pour rassembler l’ensemble des résultats et, ensuite, les transformer en un projet de constitution qui sera soumis à un référendum le 25 juillet 2022.
Avant de présenter son plan, le président de la République a, notons-le, bien mentionné sur un ton fier qu’il avait pris ces décisions, seul. La consultation nationale devrait se dérouler de deux manières : en vote directe et via une plateforme électronique confectionnée par le ministère des Technologie de la communication.
N.J.
Sa compétence se limite à l'organisation, la surveillance et le bon déroulement d'une élection.
Tiens, je vais m'ingérer : ne fais pas trop de projets personnels pour l'avenir...
Réveille toi !
Il n'y a plus d'ISIE , d'HAICA , et toutes ces "Associations de Malfaiteurs Con stitutionnels" montées pour détruire la Tunisie depuis 2011 , tu as compris depuis 2011....
Et surtout, grave toi ça en tête:
Il n'y plus rien !
Il n'y a plus de Justice, de Droit , et autres conneries démocratiques que toi et ta nahka avaient monté pour spolier la Tunisie et surtout vos militants qui commencent à se faire exploser dans votre mosquée "Haram" de Monplaisir !!!!!
Circulez il n'y a rien avoir et surtout réveille et OUBLIES que la Tunisie est 1 pays de "Liberté" !!!!
Pour l'instant on est au stade de feuille de route. Après la consultation peut être !!!