Le président de l’Union tunisienne de l'agriculture et de la pêche (Utap), Abdelmajid Ezzar a forcé la porte de son bureau à l’Utap. Après avoir été écarté par des membres de l’organisation et remplacé par Noureddine Ben Ayed, sous l’impulsion du président de la République, M. Ezzar est revenu vendredi 10 juin 2022 dans son bureau déclarant : « Nous sommes dans notre bureau, nous travaillons et nous avons repris notre légitimité ».
Il est à noter que durant cette action de reconquête, le nouveau président autoproclamé Noureddine Ben Ayed était également présent dans le bureau objet du litige.
Dans un post Facebook, l’ancien membre du parti islamiste Ennahdha et actuellement dirigeant au sein du Front de salut, Samir Dilou, a révélé que la police a encerlé les lieux.
Entretemps Abdelmajid Ezzar, a posté une photo assis dans son bureau téléphone à la main.
Toute la scène qui a commencé en début d’après-midi a été accompagnée de messages adressés au président de la République qui a été qualifié de putschiste par les camarades de M. Ezzar ayant filmé l’intrusion. « Nous résisterons et nous mourrons » ont-il scandé.
Le feuilleton de l’Utap se poursuit donc, alors même que le « nouveau » président a été adoubé par Saïed et participe actuellement au dialogue national sous la casquette de l’organisation.
S.A
Il a voulu cacher ses corruptions pour ne pas être considèré comme nahdhaoui (les spécialistes en corruption) mais il n'est pas parvenu et fut découvert.
C'est normal qu'il s'accroche comme une tique a son poste même s'il est rejeté par la majorité de ses adhérents.
Ce type qui recourt aux méthodes musclées, montre que la mouvance pousse à la confrontation violente.
Il est chez lui, dit-il.
Drôle de conception de son rôle.
Mais, nous y sommes habitués avec cette racaille qui confond fonction, emploi et propriété.
En somme, ils croient que le pays leur appartient, voilà leur conception.
Pays sans foi ni loi depuis que les islamistes ont tout pourri.
Merde aux pourris.
La dictature et le despotisme appartiennent au passé lointain de l'avant Révolution du 14 janvier 2011.
Fèlè aâchè fi Tounes mèn khanèhè.
On connaît tous les malfrats maintenant depuis dix ans.
Dire Bizerte pour dévier les attentions quoique Sfax est déjà infectée par ces mafieux.
d'habitude, les membres de la CHOURA ne forcent pas les portes de bureau, ils forcent plutôt les portes de coffre-fort, les portes du Parlement et les portes de caisses aux ministères.
Ezzar a-t-il changé de métier entre temps?
KS va finir par détruire notre fraternité entre tunisiens et apparemment veut nous guider au scénario libyen pas celui de guaddefi mais celui de post guaddefi!
Où sont les sages de l'état ! C'est inquiétant!! Et très grave dans le futur !
Saïd doit passer à la vitesse supérieure '?'arrestation et incarcération de tout les criminels islamistes avant qu'ils ne commettent l'irréparable.