« Existe-t-il une forme d'austérité ou de don capable de fournir environ quatre mille milliards pour clôturer le budget de 2021 et vingt mille milliards pour le budget 2022, voire une part raisonnable de ces montants ? », s’est interrogé, samedi 6 novembre 2021, l’ancien ministre Abdellatif Mekki.
Réagissant aux appels répétés du président de la République à l’austérité, Abdellatif Mekki, a eu ces mots : « Pas de réponse, pas de vue, pas d'écoute… L’important, c'est un référendum électronique pour changer le système politique… Une réalité économique difficile et le pouvoir se préoccupe d’illusions au nom d'une perception personnelle du système politique ».
L’ancien ministre a enfin déploré le gouffre qui sépare la réalité et le pouvoir en place.
A de multiples reprises, le président de la République, Kaïs Saïed, a mis l’accent sur la nécessité de compter sur les capacités nationales avant d’envisager de recourir aux aides étrangères.
Kaïs Saïed a prôné l'austérité appelant les citoyens à se sentir concernés par les politiques menées par l'Etat.
M.B.Z
!? Frappé apparemment par l'effet de la loisiveté, il reprend sa plume comme si de rien n'était...!!! Soyons sérieux mr mekki ! La Tunisie est vraiment malade, après des années de massacre et de lynchage par tes camarades d'Ennahdha et de kelb Tounès. Aujourd'hui, seuls les bons.... médecins pourront la guérir...!! Et le grand leader Kais Saied en fait déjà partie...!!!! Désolé mr mekki, pour vous et pour vos collègues d' Ennahdha et de kelb Tounès, the game is over !
Chaque millime va être utilisé par Saied pour renforcer sa mainmise sur le pays.
C'est mieux de faire des dons directs aux gens pauvres. Chacun a parmi ses voisins, sa famille proche ou lointaine de personnes pauvres. Il faut faire des dons directs aux gens et non pas à la dictature.
De même pour la mascarade de 'dialogue électronique' qu'il prépare. Chacun qui participe dans cette mascarade viole la constitution comme le fait de Saied. Toue cette mascarade n'a de but que de lui donner un peu de légitimité.
La religion est le soupir de la créature accablée, l'âme d'un monde sans c'?ur, de même qu'elle est l'esprit d'un état de choses où il n'est point d'esprit.
Elle est l'opium du peuple.