Son histoire avait ébranlé l’opinion publique. Le renvoi de l’étudiant en quatrième année médecine, Wajih Dhokkar, de la Faculté de médecine de Tunis a suscité un grand remous au mois de novembre dernier.
L’étudiant avait été suspendu pour avoir publié au mois de juin 2019 un simple statut Facebook dans lequel il avait exprimé son indignation pour les conditions d’études au sein de l’établissement, une histoire de climatiseur dans la bibliothèque qui prendra un tournant inattendu.
Le 22 novembre l’étudiant qui avait affirmé qu’il avait raté son année, a annoncé la reprise de ses stages, avec l’accord du secrétaire général de la FMT Bouabaker Saïdi, précisant que ses jours d’absences ne seront pas comptabilisés.
Ce samedi 22 février 2020, Wajih Dhokkar a souligné que bien qu'il ait effectué les stages nécessaires et convenu avec sa direction qu'il ne ratera pas son année, l'administration de la faculté a nié tout accord et n'a pas validé ses stages, en raison de 4 jours « d’absence » comptabilisés alors qu'il était encore exclu.
L’étudiant a précisé que cette nouvelle donnée conduit irrévocablement à son redoublement, affirmant qu’il continuera à livrer sa bataille pour récupérer ses droits.
M.B.Z
- M. Saïdi est secrétaire général et non doyen.
- pour redoubler ou passer, il faut attendre le dernier jury qui n'a lieu qu'en juillet..
En attendant, vous continuez à propager des informations non vérifiées...
On attend le correctif.
C'est la BHAMA par excellence.
C'est la Tunisie...
Un grand nombre de directeurs qui sèment les sanctions pour des raisons banales et injustifiées , ils se prennent pour des dieux ..Et ils profitent de la situation fragile des étudiants..
Aulieu de lancer une réforme ou de développer les infrastructures, cadre et lieux d'enseignement ils préfèrent de chercher la bête....
Dans l'attente d'un grand tsunami qui emportera ces malades ..(.qui sont les maux de la Tunisie)
vous avez cru aux blagues islamo-atlantistes ...? il faut l'assumer et préparez vous aux pires prochainement.
Une situation de plus en plus explosive socialement