
Tarak Mahdi, député à l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP), est intervenu vendredi 30 mai 2025 pour revenir sur la destruction du camp de réfugiés du kilomètre 21 dans la délégation d’El Amra.
Invité de Hatem Ben Amara, Tarak Mahdi a annoncé que le camp en question avait été démantelé, tout en précisant que la région compte entre 17 et 18 camps. Il a également dénoncé la prolifération de ces camps de migrants, affirmant qu’ils sont devenus très structurés. Il a ajouté que ces camps abritent, selon lui, des criminels et des activités illicites.
« Ces camps révèlent le danger imminent qui guette les Tunisiens », a déclaré M. Mahdi. Il a également affirmé que les migrants ont pénétré sur le territoire national à pied, sans l’autorisation des autorités. « Malheureusement, la situation ressemble à un cancer en phase de métastase », a-t-il dénoncé.
Invité de l’émission Sbeh El Ward, il a expliqué qu’après la destruction du camp, les réfugiés se sont déplacés pour en former un autre. Il a précisé qu’il s’agit désormais de dizaines de milliers de migrants dans la délégation d’El Amra. « Ils représentent aujourd’hui un danger imminent pour l’État tunisien et sa composition démographique », a-t-il poursuivi.
Il a également critiqué la présence d’enfants subsahariens nés sur le sol tunisien, ainsi que celle de mendiants subsahariens très nombreux dans les villes, selon lui. « Aujourd’hui, ils vivent de la mendicité ou travaillent à la place de nos citoyens », a-t-il déploré.
« La solution ne peut être que politique, et nous nous retrouvons menacés par la scène internationale à ce sujet », a conclu M. Mahdi.
H.K



Un Grand n'importe quoi...
Le danger est réel, vous ne pouvez pas accueillir ces populations déconnectées de vos traditions, lois et cultures. La solution, en effet, est politique. Vous devez faire pression à l'international pour que l'aide aux pays d'émigration leur permette de remonter la pente et de faire vivre leurs populations.
Vous serez soutenus dans ces démarches où la diplomatie et les projets de développement doivent jouer leur rôle à fond.
Ce n'est pas du racisme qu'affirmer cela, c'est la réalité, la loi du possible.
Bon courage...
Songe à ce que les TRE envoient au pays, et aux retraités qui vivent de leur retraite au pays. De nombreuses familles en vivent.