Vive la Tunisie, débarrassée de tous les traitres imposteurs, voraces et tenaces parasites sans foi ni loi.
Salutations.
Les islamistes tunisiens et des activistes politiques ont rapidement réagi après l'annonce du décès de l’ancien président égyptien, Mohamed Morsi.
Le chef du mouvement islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, a présenté ses condoléances à la famille de Morsi et au peuple égyptien tout en appelant à la libération des prisonniers politiques.
L’ancien chef du gouvernement et actuel candidat à la présidentielle, Hamadi Jebali, a qualifié la mort de Mohamed Morsi de « tragédie pour la nation musulmane et toute l’humanité », tout en estimant que le régime égyptien, la société civile et les ONG doivent assumer leur entière responsabilité.
De son côté, Abdehamid Jelassi, dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha, a publié sur sa page Facebook une photo du défunt ainsi qu’un statut assez poétique dans lequel il a écrit : « Ceux qui ont su forger l’aube avec leur vie savaient comment vivre. Ils savaient comment, où et quand ils mourront ».
L'avocat islamiste, Seif Eddine Makhlouf, a, de son côté, imploré Dieu pour que Mohamed Morsi soit au paradis aux côtés des martyrs et des prophètes. Il a également imploré Dieu de se venger de l'actuel chef de l'Etat égyptien, Abdelfattah Al Sissi.
S'adressant au défunt, le dirigeant nahdhaoui et ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, a estimé que ce dernier a vécu et est mort uniquement pour son peuple ajoutant : «Ta mort ne sera pas la fin, mais plutôt le début.Nous continuerons».
L’ancien president de la République, Moncef Marzouki, connu pour avoir été proche des islamistes durant son mandat, a indiqué que Mohamed Morsi avait été de son vivant un homme courageux, fort et s’était accroché jusqu’au bout à ses valeurs et positions. « L’histoire a eu son mot à dire. Mohamed Morsi est entré par la grande porte», a-t-il aussi écrit.
E.B.A.
Les islamistes tunisiens et des activistes politiques ont rapidement réagi après l'annonce du décès de l’ancien président égyptien, Mohamed Morsi.
Le chef du mouvement islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, a présenté ses condoléances à la famille de Morsi et au peuple égyptien tout en appelant à la libération des prisonniers politiques.
L’ancien chef du gouvernement et actuel candidat à la présidentielle, Hamadi Jebali, a qualifié la mort de Mohamed Morsi de « tragédie pour la nation musulmane et toute l’humanité », tout en estimant que le régime égyptien, la société civile et les ONG doivent assumer leur entière responsabilité.
De son côté, Abdehamid Jelassi, dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha, a publié sur sa page Facebook une photo du défunt ainsi qu’un statut assez poétique dans lequel il a écrit : « Ceux qui ont su forger l’aube avec leur vie savaient comment vivre. Ils savaient comment, où et quand ils mourront ».
L'avocat islamiste, Seif Eddine Makhlouf, a, de son côté, imploré Dieu pour que Mohamed Morsi soit au paradis aux côtés des martyrs et des prophètes. Il a également imploré Dieu de se venger de l'actuel chef de l'Etat égyptien, Abdelfattah Al Sissi.
S'adressant au défunt, le dirigeant nahdhaoui et ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, a estimé que ce dernier a vécu et est mort uniquement pour son peuple ajoutant : «Ta mort ne sera pas la fin, mais plutôt le début.Nous continuerons».
L’ancien president de la République, Moncef Marzouki, connu pour avoir été proche des islamistes durant son mandat, a indiqué que Mohamed Morsi avait été de son vivant un homme courageux, fort et s’était accroché jusqu’au bout à ses valeurs et positions. « L’histoire a eu son mot à dire. Mohamed Morsi est entré par la grande porte», a-t-il aussi écrit.
E.B.A.