Le Fonds monétaire international (FMI), a qualifié de « fructueuses » les discussions sur le programme de réforme des autorités tunisiennes. Dans un communiqué publié ce mercredi 30 mars 2022, le FMI a précisé que les discussions menées entre l’équipe d’experts qui s’est rendue en Tunisie du 23 au 25 mars et les autorités tunisiennes ont également porté sur les retombées de la guerre en Ukraine et son impact sur la situation en Tunisie notamment.
« La Tunisie fait face à des défis structurels majeurs qui se manifestent à travers des déséquilibres macroéconomiques profonds, une croissance très faible malgré son fort potentiel, un taux de chômage trop élevé, un investissement trop faible, et des inégalité sociales. A ces défis structurels s’ajoutent aujourd’hui l’impact de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine » indique le FMI dans son communiqué.
Il précise que le programme de réforme des autorités tunisiennes vise à combler d’une manière durable et équitable ces défis, bien à court terme pour atténuer les répercussions de la guerre en Ukraine sur l’économie ainsi qu’à moyen terme, pour assurer une croissance plus forte, durable et inclusive et une meilleure protection sociale. Dans ce contexte, le programme vise à créer de l’espace budgétaire afin de financer des projets d’investissement public et d’augmenter l’enveloppe des dépenses sociales.
Le FMI considère ainsi qu’une réduction consciencieuse du déficit budgétaire à travers une fiscalité équitable, une stricte maîtrise de la masse salariale, un meilleur ciblage des subventions, et une réforme profonde des entreprises publiques est essentiel pour la résorption des déséquilibres macroéconomiques, ainsi que pour améliorer l’efficacité du secteur des entreprises publiques et rétablir la compétitivité de l’économie tunisienne. Des initiatives visant à renforcer la concurrence et le climat des affaires seront également critiques afin de libérer le potentiel de croissance du pays et la création d’emplois.
Le FMI s’est enfin dit engagé aux côtés des autorités tunisiennes dans leurs efforts de réformes économiques et sociales au bénéfice de la population.
M.B.Z
Comparé aux réserves de ns deux voisins, les notres sont minuscules.
Tazerka, est vidée depuis longtemps. Ashtart, l'est aussi, tout comme Mides et Tamesmida et d'autres petits.
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El-Borma ne subsiste encore qu'au ralenti et n'est rentable que grace a l'élévation du prix du baril.
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De nombreuses concessions ont été octroyées pour prospection par l'ETAP a des groupes pétroliers comme Shell, Total - Fina - Elf etc, mais sans pour autant avoir découvert un fillon ... malheureusement.
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Des voitures de fonction (de fonctionnaires étatiques) a gogo aux abords des marchés municipaux, PENDANT LES HEURES DE SERVICE.
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ILs viennent en retard, sortent quand-meme pour boire un café (ils ne savent pas se lever tot et venir au travail, prets a bosser).
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Ca va et vient continuellement pour amener / ramener les enfants de l'école.
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Lorsqu'ils sont (enfin) au bureau, ils téléphonent pendant des heures ou discutent du feuilleton / match de foot de la veille ...
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S'ils travaillent deux heures par jour, c'est déja un record ...
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Il y a - chez nous - 654.922 fonctionnaires en 2022.
Faites les comptes de la masse salariale que cela représente ... à la charge du contribuable.
Payés pour téléphoner, bavarder, boire son café et ensuite, mal faire son travail.
