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Kahlaoui et ses mercenaires numériques s'en prennent à Kapitalis

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Le directeur de l’Institut des études stratégiques Tarek Kahlaoui n’a pas de mieux à faire que de s’occuper du dénigrement des opposants et de certains journalistes.
Aujourd’hui, c’est le tour de nos confrères de Kapitalis d’être dans la ligne de mire de ce dirigeant du CPR, ainsi que de ses milices numériques, à leur tête Yassine Ayari. Le même Ayari préside, ou présidait, l’association Sawaed au financement toujours opaque et travaille comme technicien en France, alors qu’il passe ses journées à fournir des analyses sur l’armée, la politique, la religion, les médias, le sport, l’alcool, les boites de nuit etc.
Dans les textes de Tarek Kahlaoui et de Yassine Ayari, on reproche à Kapitalis d’avoir relayé une information faisant valoir qu’un retraité de l’armée, du groupe de Baraket Essahel, pourrait prendre la place de Mohamed Salah Hamdi à la tête de l’armée de terre.
Aussi bien Kahlaoui que Ayari qualifient cet article de pure idiotie et y voient une hystérie contre leur président Marzouki. Un style qui égalise toute la presse de caniveau, anti-opposition, du temps de Ben Ali.
Outre ses incivilités classiques et notoires, Tarek Kahlaoui pousse le culot un peu trop cette fois en indiquant qu’il ne va pas oublier que le nom du journaliste de Kapitalis était inscrit (injustement NDLR) dans le fumeux Livre noir de son patron.
M. Kahlaoui a juste oublié que lui-même figure dans ce livre avec son pseudonyme Taher Lassoued ! Juste un rappel, car les médias aussi n’ont pas oublié M. Kahlaoui !
A lire également : Après l’article de Business News, Tarek Kahlaoui efface son pseudonyme du site de l’IES
Aujourd’hui, c’est le tour de nos confrères de Kapitalis d’être dans la ligne de mire de ce dirigeant du CPR, ainsi que de ses milices numériques, à leur tête Yassine Ayari. Le même Ayari préside, ou présidait, l’association Sawaed au financement toujours opaque et travaille comme technicien en France, alors qu’il passe ses journées à fournir des analyses sur l’armée, la politique, la religion, les médias, le sport, l’alcool, les boites de nuit etc.
Dans les textes de Tarek Kahlaoui et de Yassine Ayari, on reproche à Kapitalis d’avoir relayé une information faisant valoir qu’un retraité de l’armée, du groupe de Baraket Essahel, pourrait prendre la place de Mohamed Salah Hamdi à la tête de l’armée de terre.
Aussi bien Kahlaoui que Ayari qualifient cet article de pure idiotie et y voient une hystérie contre leur président Marzouki. Un style qui égalise toute la presse de caniveau, anti-opposition, du temps de Ben Ali.
Outre ses incivilités classiques et notoires, Tarek Kahlaoui pousse le culot un peu trop cette fois en indiquant qu’il ne va pas oublier que le nom du journaliste de Kapitalis était inscrit (injustement NDLR) dans le fumeux Livre noir de son patron.
M. Kahlaoui a juste oublié que lui-même figure dans ce livre avec son pseudonyme Taher Lassoued ! Juste un rappel, car les médias aussi n’ont pas oublié M. Kahlaoui !
R.B.H.
A lire également : Après l’article de Business News, Tarek Kahlaoui efface son pseudonyme du site de l’IES


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