« Le gouvernement n’a pas de projet visant la privatisation d’entreprises publiques » a assuré ce mercredi 11 avril 2018, le chef du gouvernement, Youssef Chahed, lors de la conférence nationale des grandes réformes. « Nous n’avons aucune volonté de les céder, quel qu’en soit le prix » a-t-il ajouté.
Dans une déclaration relayée par Mosaïque FM, Chahed est revenu sur les rumeurs de privatisation d'entreprises comme la Steg (Société tunisienne de l’électricité et du gaz) ou la Sonede (Société nationale d'exploitation et de distribution des eaux) mais aussi le secteur de la Santé, l’Education ou encore les Transports. « Tout est faux ! » a-t-il assuré en expliquant qu’il y a une différence entre les entreprises publiques opérant dans des secteurs concurrentiels et celles qui fournissent le citoyen en services essentiels.
« Celles qui sont dans des secteurs concurrentiels où l’Etat n’a pas lieu d’être et qui n’ont aucun programme de développement, ni possibilité d’obtenir des fonds à part ceux donnés par le gouvernement, peuvent une fois privatisées renflouer les caisses publiques de manière conséquente » a expliqué Youssef Chahed en enchainant avec : « Ceci nous éviterait de nous endetter sur le marché international».
S.A
Youssef Chahed : Il n'existe aucune volonté de privatiser les entreprises publiques
« Le gouvernement n’a pas de projet visant la privatisation d’entreprises publiques » a assuré ce mercredi 11 avril 2018, le chef du gouvernement, Youssef Chahed, lors de la conférence nationale des grandes réformes. « Nous n’avons aucune volonté de les céder, quel qu’en soit le prix » a-t-il ajouté.
Dans une déclaration relayée par Mosaïque FM, Chahed est revenu sur les rumeurs de privatisation d'entreprises comme la Steg (Société tunisienne de l’électricité et du gaz) ou la Sonede (Société nationale d'exploitation et de distribution des eaux) mais aussi le secteur de la Santé, l’Education ou encore les Transports. « Tout est faux ! » a-t-il assuré en expliquant qu’il y a une différence entre les entreprises publiques opérant dans des secteurs concurrentiels et celles qui fournissent le citoyen en services essentiels.
« Celles qui sont dans des secteurs concurrentiels où l’Etat n’a pas lieu d’être et qui n’ont aucun programme de développement, ni possibilité d’obtenir des fonds à part ceux donnés par le gouvernement, peuvent une fois privatisées renflouer les caisses publiques de manière conséquente » a expliqué Youssef Chahed en enchainant avec : « Ceci nous éviterait de nous endetter sur le marché international».
Un chef de l exécutif qui se contredit. Monsieur Youssef Chahed à réagi à la douleur qu il endure à sa façon. Il ne peut plus défendre l indéfendable qui consiste en un bilan catastrophique qui risque de mener le pays au désastre. Fini le temps de l entêtement et des contradictions. La Tunisie a besoin actuellement qu on mette de l ordre dans les affaires du pays par la prise de décisions courageuses loin de la malhonnêteté intellectuelle des professionnels du désordre qui ont instauré l arbitraire à la place de la loi.
Il n'y a que chez nous oû le sujet donne des migraines à tous le monde,or une entreprise qui ne génère pas de bénéfice est entreprise voué à disparaitre,et vous ne pouvez pas tourner autour du pot.vous ne pouvez pas payer des gents a rien foutre indéfinément.
Le processus de privatisation de la BH était sur les rails et c'est Y.C. lui même qui l'a stoppé net.
Mais là c'était une autre époque où l'UGTT lui promettait monts et merveilles pour 2019.
