On ne peut qu'être d'accord pour que les médias doivent rester libres et que le journaliste soit respecté.Mais on ne nous dit pas pourquoi certains journalistes se font agressés.Sont-ils toujours dans leurs droits?Soyons honnêtes!

J ai vu des journalistes, sur des chaines de TV tunisiennes, se plaindre de trop de démocratie en disant: nous sommes rassasiés et saturés de démocratie <<...chbeâna bi eddimokratia...>>.
Ils ( ces journalistes ) veulent en venir à ce qu il n y aurait plus de démocratie sous prétexte du terrorisme.
C est à savoir quoi avec vous les journalistes!!!

Mais qu'ont les islamistes dans leurs crânes de dégénérés????

Comment peuvent ils attaquer des gens qui les informent??

C'est vraiment de la **** ces gens là.

***!!!!!!!

Chaque métier à ces frontière qu'il ne faudra pas le dépasser si non c'est la liberté absolue qui n'est inexistante même chez les grecs première chercheurs dans le domaine de la philosophie si non la définition du journalisme en Tunisie est un peu particulière ( el fodha ).
Toute fois le vrai journalisme c'est de participer massivement et réellement de la reconstruction de la Tunisie la verte qui était dévastée démolir par les porteurs de mauvaise foie en principe la liberté du journalisme c'est d'être vigilant en aidant Le nouveau Président Badji Caid Essebssi à sa mission principale de mettre le train sur les railles après avoir était dérapé suite au précédent secousse causé par la folle ladite révolution .
Un journaliste ne devra pas faire des choses qui se contradictent par les coutumes ,les habitudes d'une communauté les cas de dévoiler la résidence d'un Président qui pèse sur le plan internationale et qui pu gérer un état de faible ressources d'une durée de 23 ans dans les domaines les plus sensibles la sécurité , l'économie avec un pouvoir d'achat très constant pour toutes les classes avec u taux d'inflation acceptable par les spécialistes à la matière .
En toute les cas président avait été otage d'un mauvaise 'il le motif essentiel qu'il est détesté par une majorité écrasante de la population ( faut mieux le soigner traditionnellement avec ( le plan et le héné ( El Henna ) .

Il est certain que les pourritures du Golfe ont chacun ses petits *** chez nous . Ils ne sont pas les seuls ,les occidentaux eux traficotent bien mieux en déversant des sommes assez rondelettes aux journalistes et à leurs patrons . ce qui m'inquiète dans ce putain de pays c'est que tout le monde veut être intouchable !! Et surtout cette catégorie de scribouillards dits journalistes sans foi qui , dans leur majorité sont affiliés aux partis politiques . Ce président de SNJT joue le Robert Ménard du temps où il était à la tête de "Reporters sans Frontières".Un jour on découvrira que Mr. Bghouri est un nahdhaoui camouflé. Plein le dos on doit vous appliquer la loi comme elle doit s'appliquer à tous les tunisiens toutes catégories confondues .

un tourbillon de fric de lobbying de partis politique d'hommes d'affaires pas clean .
toujours les mêmes mentalités pourries .
mélange médias politique fric religion argent venant des émirats arabes unis du qatar d'arabe wahhabite .
la tunisie vit une anarchie grave

Vous etes trop timides,vous avez peur
d aller fouiner pour debusquer tous les abus,tout passe sous vos yeux et oreilles,pourtant vous avez un pouvoir.
mais la peur vous paralyse,pourtant des milliers de citoyens aimeraient bien vous soutenir et vous fournir des
informations ultra-importantes.

Aujourd'hui tout le monde se dit syndicaliste et tous les syndicalistes ont réduit leur rôle à contester, à demander, à exiger et surtout....à ne rien faire. je pense que, pour réussir leur révolution, les Tunisiens finiront par se révolter une nouvelle fois mais cette fois contre tous ces syndicalistes qui, y compris dans les intouchables des secteurs de la vie socile, l'éducation surtout, cherchent à mettre à genou tout le pays. messieurs-mesdames qui se disent syndicalistes, au lieu de continuer à prendre vos décisons dans les cafés, commencez par travailler. Faites votre travail. que je sache, l'idée même de syndicat et de syndicalisme est née d'un principe clef: le droit au travai. or vous ne faites rien qui travaille dans ce sens. ce que vous faites conduit tout simplement à tout brader. A ces vedettes qui courent derrière les micros et les projecteurs rien que pour parler ou pour faire l'intéressant, mettez vous du travail plutôt que de continuer à faire l'intéressant.