La corporation médicale, réputée pour son esprit de solidarité exemplaire, est en train de vivre une véritable crise suite aux déclarations du secrétaire général du Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM), Dr Nazih Zghal critiquant la formule de l’Activité privée complémentaire (APC) et allant jusqu’à réclamer, carrément, sa suppression.
Directeur général et technique de la startup tunisienne, Datavora, spécialisée dans le Big Data du commerce électronique, Hedi Zaher, 39 ans fait partie de cette génération d’ingénieurs entrepreneurs ayant l’ambition de contribuer à la compétitivité économique de la Tunisie.
« Il est de mon devoir d’être franc avec le peuple et de lui dire toute la vérité […] Nous devons être debout pour la Tunisie » avait déclaré Youssef Chahed dans son discours d’investiture devant les députés de l’ARP le 26 août 2016.
Depuis l’avènement du « Printemps arabe », peu de pays ont été épargnés le fléau du terrorisme. La Tunisie n’en fait malheureusement pas partie. Dans un monde ultra-connecté, la psychose n’a pas mis beaucoup de temps à se répandre pour ravager un pan entier de l’économie du pays.
Constitué il y a un peu plus d’un an, Harak Tounes Al Irada connait actuellement une crise interne sans précédent. Il faut dire que le parti de l’ancien président de la République, Moncef Marzouki, n’était pas né sous les meilleurs auspices.
L’initiative annoncée par le président de la République prônant l’égalité de l’ héritage entre hommes et femmes a suscité, comme il fallait s’y attendre, une forte polémique à n’en plus finir, non seulement à l’intérieur du pays, mais également et surtout à l’étranger, notamment dans les pays arabes.
Titulaire d’un baccalauréat qu’il a décroché à l’âge de 14 ans avec une moyenne de 20.54, Youcef Akrout, 17 ans, est un jeune prodige tunisien à l’avenir plus que prometteur.
Il a annoncé sa démission aujourd’hui. Fadhel Abdelkefi, ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale et ministre des Finances par intérim, a décidé de quitter le gouvernement, contraint par une éthique qu’il a toujours clamée haut et fort.
Les déboires de l’Instance Vérité et Dignité n’en finissent pas depuis sa mise sur pied avec la multiplication des départs volontaires, des démissions, des mises à l’écart, plus particulièrement celles de Zouhair Makhlouf, Lilia Bouguira et Mustapha Baâzaoui.