| 05-10-2018 12:53
Dans la politique, tous les criminels ayant été condamnés par la Justice pour des affaires criminelles n'ayant aucun trait politique, ne pourront jamais plus se présenter à des postes politiques, afin de protéger la scène politique du pays et qu'elle ne perde l'estime, le respect et la confiance des citoyens. Une règle d'éthique obligatoire pour la survie du rapport direct avec le peuple. Que dire donc de l'éthique et de la déontologie du journalisme, qui est encore plus stricte qu'en politique.
Il n'est pas normal du tout, qu'un tel criminel comme cet escroc Samir Ouafi, puisse encore trouver sa place dans les médias tunisiens. Un crime à double tranchant, de son propre côté et du côté de celui qui oserait l'employer. Ni qu'il ne pourra s'acquérir une concession médiatique. Sinon, chaque journaliste pourrait voler et escroquer, puis passer quelques temps en prison, et sortir par la suite ouvrir sa propre boîte TV, avec l'argent volé. Le cas de Samy Fehri, nous est encore vivace. Sauf qu'avec lui, ils parlent d'escroquerie amalgamée de politique. Mais l'escroc demeure toute sa vie escroc.
(Iss-èl aâla Sahbik istaghnèchi, emma ettabiaâ hiya, hiya). "Demande à ton ami s'il s'est enrichi, mais son caractère, jamais qu'il ne modifie".
Il n'est pas normal du tout, qu'un tel criminel comme cet escroc Samir Ouafi, puisse encore trouver sa place dans les médias tunisiens. Un crime à double tranchant, de son propre côté et du côté de celui qui oserait l'employer. Ni qu'il ne pourra s'acquérir une concession médiatique. Sinon, chaque journaliste pourrait voler et escroquer, puis passer quelques temps en prison, et sortir par la suite ouvrir sa propre boîte TV, avec l'argent volé. Le cas de Samy Fehri, nous est encore vivace. Sauf qu'avec lui, ils parlent d'escroquerie amalgamée de politique. Mais l'escroc demeure toute sa vie escroc.
(Iss-èl aâla Sahbik istaghnèchi, emma ettabiaâ hiya, hiya). "Demande à ton ami s'il s'est enrichi, mais son caractère, jamais qu'il ne modifie".