Un duo de choc bien chic.
Restez comme vous etes,ne changez rien.
Bien cordialement.
Pour le deuxième jour consécutif, la section de Tunis de l’Ordre national des avocats prend des décisions spectaculaires contre de célèbres avocats. Après Mounir Ben Salha, hier, c’est au tour de Fethi El Mouldi et Seïfeddine Makhlouf d’être interdits d’exercer leur profession par la section de Tunis de l’Ordre. La raison, selon des sources proches du barreau, est que les deux avocats ont utilisé les médias audiovisuels pour défendre les dossiers de leurs clients. Une pratique courante chez tous les avocats, partout dans le monde qui est contestée apparemment en Tunisie, par les membres de la section de Tunis. Notre source indique qu’ils ont été tous les deux avertis.
Contacté par Business News, Fethi El Mouldi a été fortement surpris d’apprendre cette décision puisqu’il n’en a pas été informé officiellement. Comme Me Ben Salha, hier, c’est via les médias qu’il a appris cela. Concernant les avertissements, Me El Mouldi dément catégoriquement tout avertissement reçu et affirme que personne ne l’a contacté pour lui demander de ne plus apparaitre dans les médias. Selon notre source, c’est par rapport à ses déclarations dans l’affaire de Slim Chiboub que Fethi El Mouldi aurait été sanctionné. L’avocat attire l’attention qu’ils ont été nombreux à s’exprimer sur cette affaire et qu’il y avait une dizaine d’avocats qui ont présidé la conférence de presse relative au cas du gendre de l’ancien président de la République. Nous avons par ailleurs essayé de joindre Seïfeddine Makhlouf, à plusieurs reprises, mais sans succès.
Un des ténors du barreau tunisien, et sans appartenance politique particulière, Fethi El Mouldi est avocat près la cour de cassation et enseignant universitaire à la faculté de droit. Il anime également des émissions sportives et de divertissement dans des médias nationaux et internationaux. Jeune avocat, Me Makhlouf est quant à lui proche des milieux salafistes tunisiens.
M.G. - R.B.H
Pour le deuxième jour consécutif, la section de Tunis de l’Ordre national des avocats prend des décisions spectaculaires contre de célèbres avocats. Après Mounir Ben Salha, hier, c’est au tour de Fethi El Mouldi et Seïfeddine Makhlouf d’être interdits d’exercer leur profession par la section de Tunis de l’Ordre. La raison, selon des sources proches du barreau, est que les deux avocats ont utilisé les médias audiovisuels pour défendre les dossiers de leurs clients. Une pratique courante chez tous les avocats, partout dans le monde qui est contestée apparemment en Tunisie, par les membres de la section de Tunis. Notre source indique qu’ils ont été tous les deux avertis.
Contacté par Business News, Fethi El Mouldi a été fortement surpris d’apprendre cette décision puisqu’il n’en a pas été informé officiellement. Comme Me Ben Salha, hier, c’est via les médias qu’il a appris cela. Concernant les avertissements, Me El Mouldi dément catégoriquement tout avertissement reçu et affirme que personne ne l’a contacté pour lui demander de ne plus apparaitre dans les médias. Selon notre source, c’est par rapport à ses déclarations dans l’affaire de Slim Chiboub que Fethi El Mouldi aurait été sanctionné. L’avocat attire l’attention qu’ils ont été nombreux à s’exprimer sur cette affaire et qu’il y avait une dizaine d’avocats qui ont présidé la conférence de presse relative au cas du gendre de l’ancien président de la République. Nous avons par ailleurs essayé de joindre Seïfeddine Makhlouf, à plusieurs reprises, mais sans succès.
Un des ténors du barreau tunisien, et sans appartenance politique particulière, Fethi El Mouldi est avocat près la cour de cassation et enseignant universitaire à la faculté de droit. Il anime également des émissions sportives et de divertissement dans des médias nationaux et internationaux. Jeune avocat, Me Makhlouf est quant à lui proche des milieux salafistes tunisiens.
M.G. - R.B.H