Et de fait, vous ne cessez de vous couvrir de ridicule !
Je n'avais pas besoin d'une preuve supplémentaire pour être convaincu de la faiblesse de votre "français".
Merci quand même !
Maxula.
Le terroriste impliqué dans l’affaire de Ben Guerdane, Adel Ghandri a attaqué le juge près du Tribunal militaire permanent de Tunis avec un objet tranchant lui entraînant une blessure au niveau de l’épaule lors du procès de Ben Guerdane ayant eu lieu ce mardi 26 février 2019.
Contacté par Business News, l’avocat Ahmed Essefi a déclaré que Ghandri avait dissimulé cet objet dans ses vêtements pour le faire sortir lors du procès. Il avait attaqué le juge et l’a blessé au niveau de son épaule obligeant les agents de sécurité à intervenir alors que deux accusés ont essayé de prendre sa défense.
Les forces de l’ordre ont dû, ainsi, intervenir et fermer les portes de la salle et l’évacuer afin de maîtriser la situation.
M. Essefi a, en outre, souligné que les procédures sécuritaires et les fouilles des accusés n’étaient pas effectuées d’une manière professionnelle permettant à Adel Ghandri de ramener cette arme au Tribunal.
Il est à noter que selon l’article 126 du Code pénal, « est puni de mort quiconque se rend coupable de violences par usage ou menace d’usage d’armes commises, à l’audience, à l’encontre d’un magistrat ».
B.L
Le terroriste impliqué dans l’affaire de Ben Guerdane, Adel Ghandri a attaqué le juge près du Tribunal militaire permanent de Tunis avec un objet tranchant lui entraînant une blessure au niveau de l’épaule lors du procès de Ben Guerdane ayant eu lieu ce mardi 26 février 2019.
Contacté par Business News, l’avocat Ahmed Essefi a déclaré que Ghandri avait dissimulé cet objet dans ses vêtements pour le faire sortir lors du procès. Il avait attaqué le juge et l’a blessé au niveau de son épaule obligeant les agents de sécurité à intervenir alors que deux accusés ont essayé de prendre sa défense.
Les forces de l’ordre ont dû, ainsi, intervenir et fermer les portes de la salle et l’évacuer afin de maîtriser la situation.
M. Essefi a, en outre, souligné que les procédures sécuritaires et les fouilles des accusés n’étaient pas effectuées d’une manière professionnelle permettant à Adel Ghandri de ramener cette arme au Tribunal.
Il est à noter que selon l’article 126 du Code pénal, « est puni de mort quiconque se rend coupable de violences par usage ou menace d’usage d’armes commises, à l’audience, à l’encontre d’un magistrat ».
B.L