Nous voyons tous, que seul Ben Tischa et sa clique autour du président Béji Caïd essebsi, se soumettent à l'impératif de la visite controversée du prince saoudien «Scie Monchar» Mohamed Ben Selmane, en Tunisie.
Tous les observateurs parlaient depuis des années d'une plausibilité exhaustive, que seuls les ennemis des Révolutions arabes, les '?mirats arabes unies, l'Arabie Saoudite et l'?gypte, y profitent des assassinats politiques de Belaïd et de Brahmi, afin de semer la panique et le désordre contre le gouvernement d'Ennahdha et de la Troïka. L'affaire de l'assassinat bestial du journaliste saoudien Kashoggi, vient confirmer tout un système meurtrier de routine, qui tue les opposants politiques partout dans le monde et qui mène des intrigues politiques dans n'importe quel pays de ce monde. Les assassinats politiques au Yémen sous les ordres des '?miratis et des Saoudis, témoignent explicitement de l'origine et de la source des deux assassinats de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi, qui ne pourraient avoir été commis que sous l'égide des ces pays ennemis des Révoltions arabes.
Ennahdha s'asseyait sur la branche du pouvoir tunisien avec la Troïka, et même après les élections de 2014 jusqu'à aujourd'hui. Pourrait-on imaginer pour un seul instant, voir le parti d'Ennahdha scier la même branche qui le porte au pouvoir, comme le prince avait scié le journaliste Jamal Kashgghi?
Ou est-ce que la dernière visite du vrai scieur des branches et des membres humains, Mohamed Ben Salmane, a apporté tout un plan au clan Essebsi, pour mieux préparer les intrigues aux prochaines élections de 2019?
Chambre noire et chambre rouge. '?a me rappelle le vocabulaire dans les clubs des échangistes en Europe.