Apparemment le dossier de Jaraya est vide et on essaie de colmater les brèches.
Pas à pas vers une chahedgate.
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« Un tsunami d’accusations et de poursuites s’est abattu sur mon client depuis que Hichem Fourati a été nommé ministre de l’Intérieur et bénéficié de 148 voix lors du vote de confiance à l’ARP », a indiqué Lazhar Akremi, membre du comité de défense du sécuritaire Ahmed Laâouini lors d’une conférence de presse tenue ce mardi 14 août 2018.
Selon Lazhar Akremi, le sécuritaire Ahmed Laâouini, qui a témoigné contre l’homme d’affaires Chafik Jarraya, est victime de harcèlement de la part du procureur de la République, qui lui colle des affaires à la chaîne afin de le discréditer.
« La chose est simple, on a fanfaronné pensant faire tomber Youssef Chahed lors du vote de confiance du ministre de l’Intérieur, mais cela ne s’est pas passé ainsi. Alors, aujourd’hui, on cherche un autre moyen pour le faire à travers des pressions exercées sur mon client. On qualifie mon client de délateur alors qu’il s’agit d’un informateur, on l’a arrêté et je m’y attendais, mais quand il a été arrêté on n’a parlé que de Youssef Chahed. On a aussi dit qu’Ahmed Laâouini avait avoué une communication avec le chef du gouvernement et Mofdi Mseddi. En gros ce qu’on cherche à faire gober c’est que si mon client est un corrompu alors Chafik Jarraya est innocent, en d’autres termes le jour où tombe Youssef Chahed, Jarraya sera libéré » a-t-il poursuivi.
Lazhar Akremi a souligné que de nombreuses parties sont impliquées dans ces manigances, « du haut de la pyramide jusqu’à sa base ». Il a ajouté qu’avant le 23 mai 2017 et l’arrestation du « Raspoutine de la corruption » et de ses acolytes, personne ne prêtais d’attention à Ahmed Laâouini ou a Youssef Chahed et que la campagne qui vise la tête du chef du gouvernement a commencé quand il a entamé sa guerre contre la corruption.
« Je suis allé à l’Aouina et demandé aux agents de voir mon client Youssef Chahed. Quand on s’est étonné de ma requête j’ai répondu que tout ce que j’ai lu sur les réseaux sociaux ne concerne pas du tout mon client mais uniquement le chef du gouvernement. Si Youssef Chahed s’était sali les mains et vendu des autorisations moyennant des centaines de milliers de dinars, il n’aurait pas été attaqué » a affirmé l’avocat.
Et d’ajouter que son client a fait des aveux, sur lesquels il s’est rétracté, par lassitude et pour que cesse enfin la pluie des accusations dont il est l’objet. « On a même appelé cette conférence de presse une conférence pour sauver Youssef Chahed, notre client est Ahmed Laâouini et non le chef du gouvernement. La porte de l’enfer s’est ouverte le jour où Chafik Jarraya a été arrêté et si Youssef Chahed dit que la corruption est mauvaise alors Youssef Chahed est bon ! L’effet de ricochet est initié et fomenté par des lobbies qui veulent absolument libérer l’homme d’affaires et qui ont lancé la machine pour y arriver. Ceux-là qui sont dans la politique, les partis, les institutions de l’Etat et les médias ont été payés par Chafik Jarraya, ne nous voilons pas face » a-t-il enfin précisé.
M.B.Z
« Un tsunami d’accusations et de poursuites s’est abattu sur mon client depuis que Hichem Fourati a été nommé ministre de l’Intérieur et bénéficié de 148 voix lors du vote de confiance à l’ARP », a indiqué Lazhar Akremi, membre du comité de défense du sécuritaire Ahmed Laâouini lors d’une conférence de presse tenue ce mardi 14 août 2018.
Selon Lazhar Akremi, le sécuritaire Ahmed Laâouini, qui a témoigné contre l’homme d’affaires Chafik Jarraya, est victime de harcèlement de la part du procureur de la République, qui lui colle des affaires à la chaîne afin de le discréditer.
« La chose est simple, on a fanfaronné pensant faire tomber Youssef Chahed lors du vote de confiance du ministre de l’Intérieur, mais cela ne s’est pas passé ainsi. Alors, aujourd’hui, on cherche un autre moyen pour le faire à travers des pressions exercées sur mon client. On qualifie mon client de délateur alors qu’il s’agit d’un informateur, on l’a arrêté et je m’y attendais, mais quand il a été arrêté on n’a parlé que de Youssef Chahed. On a aussi dit qu’Ahmed Laâouini avait avoué une communication avec le chef du gouvernement et Mofdi Mseddi. En gros ce qu’on cherche à faire gober c’est que si mon client est un corrompu alors Chafik Jarraya est innocent, en d’autres termes le jour où tombe Youssef Chahed, Jarraya sera libéré » a-t-il poursuivi.
Lazhar Akremi a souligné que de nombreuses parties sont impliquées dans ces manigances, « du haut de la pyramide jusqu’à sa base ». Il a ajouté qu’avant le 23 mai 2017 et l’arrestation du « Raspoutine de la corruption » et de ses acolytes, personne ne prêtais d’attention à Ahmed Laâouini ou a Youssef Chahed et que la campagne qui vise la tête du chef du gouvernement a commencé quand il a entamé sa guerre contre la corruption.
« Je suis allé à l’Aouina et demandé aux agents de voir mon client Youssef Chahed. Quand on s’est étonné de ma requête j’ai répondu que tout ce que j’ai lu sur les réseaux sociaux ne concerne pas du tout mon client mais uniquement le chef du gouvernement. Si Youssef Chahed s’était sali les mains et vendu des autorisations moyennant des centaines de milliers de dinars, il n’aurait pas été attaqué » a affirmé l’avocat.
Et d’ajouter que son client a fait des aveux, sur lesquels il s’est rétracté, par lassitude et pour que cesse enfin la pluie des accusations dont il est l’objet. « On a même appelé cette conférence de presse une conférence pour sauver Youssef Chahed, notre client est Ahmed Laâouini et non le chef du gouvernement. La porte de l’enfer s’est ouverte le jour où Chafik Jarraya a été arrêté et si Youssef Chahed dit que la corruption est mauvaise alors Youssef Chahed est bon ! L’effet de ricochet est initié et fomenté par des lobbies qui veulent absolument libérer l’homme d’affaires et qui ont lancé la machine pour y arriver. Ceux-là qui sont dans la politique, les partis, les institutions de l’Etat et les médias ont été payés par Chafik Jarraya, ne nous voilons pas face » a-t-il enfin précisé.
M.B.Z