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L'affaire Chokri Belaïd reportée au 20 février 2018
21/11/2017 | 22:00
1 min
L'affaire Chokri Belaïd reportée au 20 février 2018

Le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, aujourd’hui, mardi 21 novembre 2017, le report de l’affaire du martyr, Chokri Belaïd au 20 février 2018, apprend Business News de source judiciaire.

 

La même source affirme que le tribunal a, aussi, refusé toutes les demandes de libération des accusés.

 

Le mercredi 6 février 2013, le leader du Front populaire Chokri Belaïd a été assassiné par balles devant sa résidence à El Menzah 6 (Tunis). Depuis, l’affaire traîne encore dans les tribunaux.

21/11/2017 | 22:00
1 min
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Commentaires (8)

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fennec
| 22-11-2017 14:24
ça ressemble à l'affaire BEN BARKA
IL N'y aura jamais d'espoir ,vu la grande mafia ...

MT
| 22-11-2017 12:06
Tout crime implique les islamistes son criminel ne soit pas punit,seulement qu''une fois la séparation de ces deux amoureux au pouvoir prendra fin,la justice chez nous,est devenue une marionnette,ni indépendante,ni consciente !!!

independence day
| 22-11-2017 11:33
...jusque au jour ou dans ce pays on osera appeler..

un chat un chat...
un chater un chater...
un traître un traître...
un assassin un assassin...

etc

Citoyen_H
| 22-11-2017 10:54

À la vitesse à laquelle évolue cette affaire, on aura plus de chance d'avoir des informations sur le véritable assassin de Kennedy, que les tenants et les aboutissants de l'affaire Belaid.

Cette affaire est un hymne, au flagrant laisser aller d'une justice à géométrie variable.
Entre autres, l'affaire bouchléka est un des exemples des plus représentatif.




Hannibal
| 22-11-2017 08:55
Les assassins ,les donneurs d ordre,et ceux qui ont finance les deux assassinats politiques de Chokry Belaied et Mohammed Brahmi sont connus par les plus hautes spheres du pouvoir.Chokry Belaied et Mohammed Brahmi sont deux hommes politiques extremement importants pour l apres revolution,et presentaient un obstacle tres solide pour empecher toute hegemonie d un pouvoir islamiste extremiste sur la scene politique en Tunisie.Caied Essebsi avait promi de mettre la lumiere sur ces deux assassinats politiques lors de sa campagne electorale....il a encore menti et evite d en parler.

A4
| 22-11-2017 08:13
LEVE-TOI !
Ecrit par A4 - Tunis, le 04 Février 2017

Lève-toi l'ami
Et fais comme moi
Je n'ai point dormi
Depuis bien des mois

Lève-toi, allez
Je te tends la main
J'ai les doigts gelés
J'ai le coeur chagrin

Allez, prends ma main
Tout seul je n'ai pu
Vaincre assassins
Et juges corrompus

Viens, ouvre tes yeux
Et serre fort ma main
Nous saurons à deux
Trouver l'assassin

L'assassin se cache
Derrière sa moustache
Ses lunettes de myope
Et son regard de taupe

L'assassin s'inquiète
En baissant la tête
Ni tranquille ni fier
Il vit un enfer

Il nous guette, le lâche
Mais il faut qu'il sache
Que tourne le vent
D'arrière au devant

Que même bien caché
Dans son vieux bûcher
Il n'évitera guère
La prise par derrière

Lucifer
| 21-11-2017 23:06
reporter reporter jusqu'au jour du jugement le jour ou personne ne pourra plus rien reporter alors continuez à reporter

ourwa
| 21-11-2017 22:26
" L'affaire Chokri Belaïd reportée au 20 février 2018" (sic)
mais il me semble que ce n'est pas la première fois que cette affaire est reportée... Quant à la "précision" "que le tribunal a, aussi ( sans blague?), refusé toutes les demandes de libération des accusés.", on ne sait pas si c'est du lard ou du cochon...La Justice, comme l'Etat, dans son ensemble, brillent sombrement par leur termoiement, leur mauvaise foi, leur sens de la manipulation et leur génie de reculer...pour mieux s'enfoncer et dévoiler inexorablement leur refus d'éclaircir complètement ce crime. Ce cas n'est pas unique; l'affaire de l'assassinat de Brahmi, celle de Naght et celles de tant d'autres, les chevrotinés de Siliana, les martyrs de kasserine et sa région et autres...Affaires enterrées? La lourdeur de la justice dans ces affaires, qui semble de plomb, nous donne la sale impression de celle, suspecte, d'un Etat dit démocratique, qui ne se hâte point de rendre justice à ceux qui ont versé leur sang pour leur pays...ni au pays dans son ensemble.