Si la logique est d'accepter et d'admettre que les tunisiens de confession juive puissent ouvrir des écoles confessionnels et non mixtes, il ne faudra pas s'insurger si les tunisiens de confessions musulmane aient les mêmes revendications et en fassent de même (et nous savons à quel point certains extrémistes profiteront de cette brèche).
Il s'agit d'une réflexion globale, dont la pertinence gagnerait à s'affranchir d'une tutelle culturelle non tunisienne et à raisonner en fonction des réalités locales (menaces comprises).