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Biographie de Khalil Ghariani, nouveau ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance
25/02/2017 | 18:30
1 min
Biographie de Khalil Ghariani, nouveau ministre de la Fonction publique et de la Gouvernance

Khalil Ghariani a 54 ans, il est membre du bureau exécutif de l’UTICA. En 1989, il rejoint la centrale patronale et y travaillera durant 14 ans au service des Affaires sociales.

 

De 2003 à 2005, il occupe le poste de directeur général au sein de l’entreprise Délice Danone puis en 2006, il décide de monter son propre projet dans la production de chocolat et de friandise. Après la révolution de 2011, Khalil Ghariani, devient membre de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique.

Il a présidé également la fédération tunisienne de golf.

 

K.H

25/02/2017 | 18:30
1 min
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Commentaires (28)

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Dr Youssef
| 27-02-2017 17:05
Il y a beaucoup d'ombre sur son niveau d'instruction,ses diplômes, ses titres, et son parcours professionnel.C'est un peu trop escamoté pour pour un ministère aussi important.Mais restons quand même positifs et espérons que son arrivée marquera un tournant favorable dans le fonctionnement de nos institutions publiques.

hateam
| 27-02-2017 12:16
Depuis un bon bout de temps la tendance mafieuse des lobbies voulait s'emparer du pouvoir de l'administration en nommant ou en promouvant des antennes qui leur facilitent leurs affaires et leurs main mise sur les commandes publiques et sur le monde des affaires.
La montée en puissance de la société civile adossé par la force de caractère montrée tout récemment par les élus( cas du logement social, cas de la loi de protection des dénonciateurs de la corruption...) cette montée en puissance a contraint les lobbies à passer à un plan B plus offensif.Ce plan se base sur deux piliers:
1- Créer un nouveau corps au sein de la fonction publique appelé la Haute Fonction qui sera rémunérée selon une autre échelle.Ce premier choix ciblera de mettre la main sur certains postes clés pour pouvoir manipuler dossiers des détracteurs ou non conformistes et surtout avoir la possibilité de manipuler chiffres et indicateurs justifiant telle ou telle décision surtout lorsque le choix"d'abattre" des vaches pointe à l'horizon.
Pour ceci il fallait mettre un chef de file qui prépare et exécute les plans de façon "clean"et light...
2-Passer à la privatisation en mode accéléré pour avoir l'anticipation sur de nouvelles formes d'opposition ou de régulation.
A ce titre comment pense t on par exemple à privatiser une banque à majorité publique qui d'une part a été mise â plat par les mafieux et qui vient de beneficier d'une recapitalisation et ce sans attendre de faire un premier bilan qui justifierait la sage décision?
Enfin supposons que cette voie est réellement la voie unique pour sortir du marasme économique et réaliser une meilleure performance, il reste à le démontrer en se basant surtout sur certaines expériences faites avec des entreprises publiques pour qui ont avait choisi dans la précipitation des partenaires qui ont montré que leur objectif est loin d'être en cohérence même limitée avec nos objectifs nationaux de prog'ès et de prospérité.

G&G
| 27-02-2017 08:32
Sa principale mission c'est privatiser la fonction publique.d'ici la fin de sa mission on enregistrera un million de chômeurs c'est l'objectif du FMI.

G&G
RCDiste et fier

Samsat
| 27-02-2017 07:34
BN vous avez omis le parcours universitaire du ministre il a une maîtrise en droit public session 1989 de la faculté de droit et des sciences politiques de tunis .c'etait mon camarade de promotion . Que je n'ai plus revu d'ailleurs . Mais il faut rendre à césar ....

SDEC
| 26-02-2017 21:39
C'est le protégé de Wided? Il parait qu'elle est très proche de lui? Vous confirmez?
YC a appris le dernier le changement on lui a simplement demandé de l'annoncer. Tout se décide ailleurs.

walid
| 26-02-2017 18:28
BN,vous appelez cet entrefilet un CV ?

Inaperçu
| 26-02-2017 17:52
Du témoignage même de briki il est valable. L'essentiel c'est qu'il fasse du bon boulot.,

Kamel BT
| 26-02-2017 15:33
Le nouveau ministre Khalil Ghariani est le fils de Naiyla Belkhodja s'ur de Moez Belkhodja le mari de Saloua Caïd Essebsi fille de Béji Caïd Essebsi... Le nouvel Ambassadeur à Paris Abdel Aziz Rassaa est le petit fils de l'oncle paternel de Chadliya Caïd Essebsi épouse de Béji Caïd Essebsi préside de la République par imposture et fraude électorale...

3ABROUD
| 26-02-2017 12:18
Sérieux, compétence (!), élégance, transparence, apparence, cravate, patate,... peuvent tromper pour cacher une personnalité bien modeste. Monsieur Ghariani, avec un niveau intellectuel somme toute limité à coté de subordonnées bien garnis, et un manque d'expérience dans la fonction publique, risque de ne pas être à la place qui lui convient. D'ailleurs, au BE de l'UTICA, en l'écoutant reprendre les mêmes idées textuellement, on put affirmer qu'il est bien limité.

chebou
| 26-02-2017 11:37
Décidément ils sont à l'affut. Au moindre geste ils tirent sur la gâchette. certains commentaires et ils sont nombreux malheureusement, dégagent tellement de la haine au point que ça pue. pourquoi tout ce mépris? Que notre chef du gouvernement fasse un remaniement et que le syndicat réagisse, cela ne devrait pas engendrer un tel débit de venin. le dénigrement systématique de tout nouveau responsable est dramatique. Qu'on évoque l'absence de diplôme du nouveau ministre cela est légitime car notre pays dispose de plein de diplômés. Mais que l'on appuie directement sur le bouton des liens familiaux et que l'on dise que le nouveau ministre est le fils du neveu du cousin du boulanger du quartier de BCE. En fait, chacun aurait voulu voir un des siens à ce poste qui est considéré comme source de pouvoir et de privilèges et non comme une responsabilité source de soucis et de problèmes.Cessez ce vacarme et soyez conscients que la situation de notre pays est dangereuse et que nous devons travailler et nous unir. La démocratie est une mentalité qu'on n'a pas encore En un mot nous sommes obligés de vivre ensemble et tout responsable doit être celui de tous sur la base d'un programme tuniso-tunisien. Il n'y a plus de place ni aux fascistes ni aux traîtres et même pas aux clientélistes.