Le ministre de l’Intérieur Hichem Fourati a déclaré, en ce mercredi 5 septembre 2018 à Shems FM, que le policier qui a été agressé par une personne à Bizerte aura tous ses droits dans cette affaire.
Hichem Fourati a par la même occasion annoncé que cette affaire sera traitée en coopération entre le ministère de l’Intérieur et la Ligue Tunisienne des droits de l’Homme (LTDH).
M. Fourati a également expliqué que le projet de loi relatif à la répression des atteintes contre les forces armées est en cours de traitement, appelant ainsi le parlement à accélérer le processus étant donné que les agressions envers les policiers ne cessent de croître.
Hichem Fourati a par ailleurs annoncé qu’une certaine protection administrative est destinée à protéger les policiers dans ce genre de situation mais que rares sont ceux qui y recourent.
F.J
Hichem Fourati appelle à accélérer l’examen de la loi sur la répression des atteintes contre les forces armées
Le ministre de l’Intérieur Hichem Fourati a déclaré, en ce mercredi 5 septembre 2018 à Shems FM, que le policier qui a été agressé par une personne à Bizerte aura tous ses droits dans cette affaire.
Hichem Fourati a par la même occasion annoncé que cette affaire sera traitée en coopération entre le ministère de l’Intérieur et la Ligue Tunisienne des droits de l’Homme (LTDH).
M. Fourati a également expliqué que le projet de loi relatif à la répression des atteintes contre les forces armées est en cours de traitement, appelant ainsi le parlement à accélérer le processus étant donné que les agressions envers les policiers ne cessent de croître.
Hichem Fourati a par ailleurs annoncé qu’une certaine protection administrative est destinée à protéger les policiers dans ce genre de situation mais que rares sont ceux qui y recourent.
Quand un policier fait son travail pour maîtriser un malfaiteur ,tout le monde cri au secours contre le policier,mais quand celui ci se fait agresser,ça passe comme c'est normal,il est temps de revoir la loi qui peut protéger aussi nos hommes de la sécurité !
Décidément cela tourne à l'obsession ce projet de loi. à chaque rentrée il est remis à l'ordre du jour.
On présente les choses comme s'il n'existe aucune loi en Tunisie qui sanctionne les agressions contre les policiers. on nous fait croire qu'à défaut d'adoption de cette loi, on peut agresser impunément les forces de l'ordre...
"les agressions envers les policiers ne cessent de croître". Pourrions-nous avoir des chiffres qui étayent cette affirmation ?
